Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance) réalisée dans les institutions en 1998 est la première enquête nationale sur ce sujet en France....
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Résumé
L'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance) réalisée dans les institutions en 1998 est la première enquête nationale sur ce sujet en France. Elle est articulée autour de 3 grands chapitres : les déficiences (les pertes ou les dysfonctionnements des diverses parties du corps ou du cerveau), les incapacités (les difficultés ou impossibilités de réaliser des actes les plus élémentaires aux plus complexes) et les désavantages (les difficultés ou impossibilités que rencontre une personne à remplir les rôles sociaux auxquels elle peut aspirer, ou que la société attend d'elle). 14 600 personnes ont été interrogées parmi les 660 000 pensionnaires hébergés dans 4 types d'institutions : foyers pour enfants handicapés, foyers pour adultes handicapés, établissements hébergeant des personnes âgées et institutions psychiatriques. La population des institutions est très majoritairement atteinte par au moins une déficience. Les déficiences les plus fréquentes sont intellectuelles ou mentales et motrices. Les déficiences intellectuelles ou mentales sont plus fréquentes chez les pensionnaires dits " jeunes " (moins de 60 ans). Les origines de déficiences les plus répandues sont la maladie des individus et le vieillissement. Un peu moins d'un tiers des personnes ne peuvent sans aide se mouvoir ou se déplacer. Plus de la moitié des pensionnaires ont besoin d'assistance pour la toilette et l'habillement. Les femmes sont les moins autonomes : en effet elles rentrent en institution avec des handicaps plus prononcés ou à des âges plus avancés. L'isolement des pensionnaires n'est pas fréquent : 88 % des pensionnaires ont gardé un contact avec leur famille, environ 60 % ont une visite au moins une fois par mois et 50 % ont des amis au sein de l'institution.