Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Si tu lis ce carnet en entier, cela te prendra une heure de ton temps. Sache que durant cette heure, plus de 14 personnes seront mortes en Afghanistan,...
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" Si tu lis ce carnet en entier, cela te prendra une heure de ton temps. Sache que durant cette heure, plus de 14 personnes seront mortes en Afghanistan, à cause de la guerre mais aussi de la faim, et 60 autres seront devenues des réfugiés afghans hors de leur pays. Ce carnet tente de décrire la raison de cette mortalité et de cette émigration. Si ce sujet amer est trop dur pour ta douce existence, s'il te plaît, évite de lire ce qui suit. " Mohsen Makhmalbaf, avril 2001. Homme orchestre, issu du prolétariat, militant très jeune, auteur de romans, de nouvelles et d'essais, Mohsen Makhmalbaf se révèle, avec ses carnets de route, écrits lors du tournage en Afghanistan de son dernier film Kandahar, un vrai journaliste documenté. Au-delà du travail de dénonciation d'une manipulation internationale, son texte est une déclaration d'amour à un peuple, le peuple afghan et particulièrement aux femmes, auxquelles il a consacré son film, Kandahar. Nous voulions vous le faire partager.
Sommaire
L'Afghanistan aux yeux du monde
L'Afghanistan, un pays sans image
Le conflit de la mule et de la Rolls
Aujourd'hui en Afghanistan, les seuls objets modernes sont les armes
Je suis venu à pied, à pied je repartirai
Comment j'ai été vendu et revendu plusieurs fois
Cent ans après la ligne Durand
Cette nation mourante que le Bouddha pointait
Chaque fois que je veux faire un film sur l'Afghanistan, je me retrouve au Pakistan
L'essui-glace et le mollah Omar
C'est le père ou le frère, pas la mariée, qui dit " oui "