Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis la Renaissance et les audaces de l'Arétin, la littérature libertine était souterrainement devenue une branche importante de la littérature...
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Résumé
Depuis la Renaissance et les audaces de l'Arétin, la littérature libertine était souterrainement devenue une branche importante de la littérature européenne. Le XVIIIe siècle en vit l'épanouissement. Elle devint un phénomène de société dans un monde où la censure se relâchait à mesure que le bien-être et le scepticisme croissaient. Séduisant l'esprit par l'examen des ressorts du désir, elle avivait l'imagination par sa peinture du plaisir. Tel est le phénomène que, dans sa diversité, les présentes études s'efforcent de saisir à travers romans, nouvelles, mémoires, essais, théâtre, poésie, contes et journaux intimes. Elles brossent au long du XVIIIe siècle l'histoire d'un genre problématique, retraçant son évolution, évaluant son marché, reconstituant ses contraintes, estimant sa poétique. Ces textes libertins qui préfèrent " gazer l'ordure ", séduisent subversivement aux limites des bienséances, travaillant à cette frontière entre érotisme et pornographie qui demeurait clairement perçue par les auteurs, les libraires, la police et le public. Le " genre libertin " se définirait peut-être alors par une écriture elliptique, plus suggestive que descriptive, par des procédures sophistiquées d'implication du lecteur, par un constant raffinement littéraire enfin, où s'exprime le souci joyeux d'un art du plaisir.
Textes réunis par Jean-François Perrin, professeur de littérature française à l'Université Stendhal - Grenoble 3 et Philip Stewart, professeur de littérature française à Duke University- Durham (USA).