Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Elle avait dit : " On essaie de s'appeler en début de semaine. " Lundi, il n'y a pas mieux comme début de semaine. Quand on dit début de semaine,...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
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Résumé
" Elle avait dit : " On essaie de s'appeler en début de semaine. " Lundi, il n'y a pas mieux comme début de semaine. Quand on dit début de semaine, on ne peut pas reprocher d'appeler un lundi. Mais c'est peut-être trop au début de la semaine. Mardi, ça serait bien. C'est aussi en début de semaine, mais moins. Ça va jusqu'où, un début de semaine ? Jusqu'au mercredi ? Non, je dirais que là, on arrive plutôt en milieu de semaine. Il y a deux écoles. Première école : lundi, mardi, mercredi, début de semaine, et jeudi à dimanche, fin de semaine. Deuxième école : lundi, mardi, début, mercredi, jeudi, milieu, et vendredi, samedi, dimanche, fin. En aucun cas, on ne peut considérer que le mercredi est en début de semaine.
On avance. "
Pour Jean-François Derec, l'existence, dans ses plus infimes détails, demeure avant tout une aventure à haut risque qu'il convient d'observer avec la méticulosité d'un entomologiste. Il ne cesse de trouver matière à traquer l'angoisse à propos du plus minuscule aléa. Fini de rire. Le drame est partout. Personne ne sortira indemne de cette lecture.