Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En épigraphe aux notes pour servir à l'histoire de l'I. S de 1969 à 1971, parues en 1972 dans la Véritable Scission, Guy Debord plaçait deux citations...
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Résumé
En épigraphe aux notes pour servir à l'histoire de l'I. S de 1969 à 1971, parues en 1972 dans la Véritable Scission, Guy Debord plaçait deux citations ; l'une tirée de l'Idéologie allemande : " Les individus sont tels qu'ils manifestent leur vie. Ce qu'ils sont coïncident donc avec leur production aussi bien par ce qu'ils produisent que par la manière dont ils le produisent " ; l'autre, des Mémoires du cardinal de Retz ; " L'on a plus de peine, dans les partis, à vivre avec ceux qui en sont qu'à agir contre ceux qui y sont opposés. " C'est sur la base de telles réalités qu'un débat d'orientation, au sein même de l'I S., fut engagé au début de 1970 pour provoquer une " véritable scission ". Mais aussi, et à plus forte raison, " dans le vaste et informe mouvement de contestation " empreint d'idéologie et par là même, sujet à toutes les récupérations ou manipulations possibles. L'Italie, en premier lieu, connaîtra dès cette époque bombes et autres formes éprouvées du terrorisme d'État. Ce volume 4 de la Correspondance de Guy Debord témoigne de tout cela et de manière tout aussi exemplaire, de l'emploi " fait du temps " qui, de l'aveu même de l'auteur, " composait un ensemble qui ressemblait aux plus heureux désordres " de sa jeunesse.