Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le "récit" est une construction universelle pour produire et partager du sens. Or l'entreprise, aujourd'hui en quête de nouveaux repères, est le lieu...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Le "récit" est une construction universelle pour produire et partager du sens. Or l'entreprise, aujourd'hui en quête de nouveaux repères, est le lieu de multiples récits : conversations de couloir, séminaires, réunions, histoire de la société, etc.
De leur meilleure compréhension, pour ne pas dire de leur meilleur usage, se dégage une vision renouvelée du sens des actions individuelles et collectives dans l'univers professionnel.
Dans ce livre passionnant, Dominique Christian s'appuie sur les apports théoriques de la philosophie, de la sémiotique du conte et de la stratégie pour nous proposer un regard différent sur les objectifs et les moyens du management. Il développe son analyse en huit chapitres indépendants qui constituent autant d'axes de réflexion pour tous ceux qui cherchent à redonner du sens à l'action :
- "Quelques considérations sur le doute et les remords, en particulier des décideurs" montre que le récit permet parfaitement aux acteurs de l'entreprise de saisir la complexité des situations professionnelles.
- "Vers une méthodologie de la construction du sens" souligne les similitudes de structure entre des situations professionnelles particulières et la forme narrative : par exemple la logique de projet et les contes enfantins.
- "De la surface du récit à ses ressorts cachés "fait passer du" comment ça marche" au "pourquoi ça marche" en reprenant les fondamentaux des théories du récit.
- "Temporalité et évolution des connaissances" montre que le sens est produit par les enchaînements entre épisodes autant que par les contenus.
- "Les conditions de l'engagement du sens" observe les effets de la multiplicité des points de vue sur le sens.
- "Moi-même, sa vie, son œuvre " s'attache à l'un des champs premiers des récits qui interfèrent avec l'entreprise : les récits personnels.
- "Paroles de cité, cité de paroles " élargit l'enquête à la société dans son ensemble.
- "Les notions trompeuses qui conduisent les managers vers des impasses " développe l'hypothèse de l'inadéquation des notions utilisées communément pour parler de la réalité quotidienne des entreprises.
Sommaire
Quelques considérations sur le doute et les remords des décideurs
Vers une méthodologie de la construction du sens : c'est en racontant que l'on renoue le fil d'une histoire
De la surface du récit à ses ressorts cachés
Pourquoi ça marche ? Temporalité et évolution des connaissances
Les conditions de l'engagement du sens : mise en récit et interactions
Moi-même, sa vie, son œuvre, ou les récits de la personne
Paroles de cité et cité de paroles
Les notions trompeuses qui conduisent les managers vers des impasses : en quoi le narratif permet d'y échapper