Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Frédéric Chopin (1810-1849) ne connaissait pas de meilleur interprète de ses Etudes que son ami Franz Liszt. Dès sa mort, oubliant les querelles du...
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Frédéric Chopin (1810-1849) ne connaissait pas de meilleur interprète de ses Etudes que son ami Franz Liszt. Dès sa mort, oubliant les querelles du passé, celui-ci entreprend de "faire parler son affliction sur sa pierre sépulcrale". Son livre, "remarquable sous le rapport du style et de la fantaisie" (Théophile Gautier), paraît en 1851. Liszt y défend l'enfermement de Chopin "dans le cadre exclusif du piano", souligne l'inspiration polonaise de son oeuvre, la délicatesse de ses manières, évoque aussi le souvenir d'un récital au domicile du virtuose, son "hiver au midi de l'Europe" avec George Sand, son ultime voyage à Londres et les derniers instants de sa vie, à Paris, entouré de ses amis. Plus que la Pologne où il est né, plus que la France qui l'accueillit et qu'il aima, la "patrie de l'âme" fut la vraie patrie de Chopin. Liszt l'exprime dans ces pages qui célèbrent, avec élan et générosité, un poète plus encore qu'un musicien.