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« J'ai vu le corbillard, La mort qui nous appelle Chaque instant de nos vies, L'impuissance humaine, L'incassable inconvenance de la mort... L'incompréhensible, L'immoralité du sujet. J'ai vu la mort sur son corbillard... J'ai vu respirer la mort, J'ai vu respirer le Dieu, J'ai vu respirer l'homme, J'ai vu respirer la divinité. » Car l'on court après le temps, en quête perpétuelle de l'inaccessible, à la recherche de ce « cœur palpitant de la transhumance », José Russotto invite la vie et la mort dans une valse troublante.
Une chorégraphie qui nous entraîne et interpelle notre conscience, nous laissant chahutés par le spectre d'un amour rêvé, sublimé, inoubliable.