Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans une ville de Brest Dont il ne reste rien en décembre 1944, la municipalité provisoire exprime le vœu que, dès la rentrée d'octobre 1945, rouvre...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
En librairie
Résumé
Dans une ville de Brest Dont il ne reste rien en décembre 1944, la municipalité provisoire exprime le vœu que, dès la rentrée d'octobre 1945, rouvre le lycée de Brest, symbole de sa renaissance. Les tout nouveaux élus municipaux vont, en moins d'un an, concrétiser cet espoir utopique et permettre, dans un premier temps, sans internat, ni même demi-pension, l'ouverture de l'établissement secondaire, reconstitué sous la forme d'une agglomération de baraquements sur la place de l'Harteloire. Démunis de tout en cette période de pénurie, quelques milliers de potaches y suivront, au cours de la dizaine d'années de son existence provisoire, un enseignement de qualité dans un établissement mixte. Cette mixité imposée par les circonstances était novatrice, quasi-révolutionnaire. Albert Laot, qui y a effectué ses études secondaires de 1948 à, 1955 en qualité de pensionnaire puis d'externe, témoigne des conditions de vie très particulières de ces lycéens : confort spartiate, discipline de fer, exigences intellectuelles qui surprennent aujourd'hui. Il a nourri son étude de fonds d'archives du lycée, de la ville de Brest ainsi que de nombreux documents personnels et privés. Plus qu'une chronique lycéenne, cet ouvrage retrace une page de l'histoire de la ville de Brest en reconstruction.