Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis l'" Armory Show " de 1913, où ils font sensation, Brancusi et Duchamp participent aux mêmes manifestations, souvent grâce à ce dernier, qui...
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Depuis l'" Armory Show " de 1913, où ils font sensation, Brancusi et Duchamp participent aux mêmes manifestations, souvent grâce à ce dernier, qui fait inviter son ami. Brancusi lui confie l'installation de deux expositions aux Etats-Unis. Cette collaboration repose-t-elle sur une communauté d'esprit, faite d'idéaux artistiques partagés ? Marielle Tabart aborde la question de l'art et du " processus créatif ", ainsi que le corpus de l'œuvre livrée dans sa totalité : la Boîte verte et la Boite en valise pour Duchamp, les photographies de l'Atelier pour Brancusi. La chronique de Doïna Lemny restitue les échanges entre les deux artistes et révèle le rôle de médiateur de Duchamp. Edith Balas évoque l'invention du readymade par celui-ci et l'importance de l'objet chez Brancusi, dans la mouvance de l'esprit dada, tandis que William Camfield, auteur de textes majeurs sur la Fontaine de Duchamp, prend à témoin les premiers " regardeurs " d'une œuvre " disparue " devenue célèbre.