Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" - Pasternak te demande ou téléphone ! Mes parents me fixaient, ahuris. Sans rien dire à personne, l'élève de quatrième que j'étais avait envoyé...
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Livré chez vous entre le 4 octobre et le 15 octobre
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Résumé
" - Pasternak te demande ou téléphone ! Mes parents me fixaient, ahuris. Sans rien dire à personne, l'élève de quatrième que j'étais avait envoyé à l'écrivain une lettre et des poèmes. Ce fut la première décision personnelle qui détermina ma vie. Et voilà qu'il me répondait et m'invitait chez lui, dimanche, à deux heures. " Architecte de formation, Andreï Voznessenski est apparu au firmament de la poésie russe ou début des années 60. Le rythme inhabituel de ses vers, l'utilisation de métaphores osées, les percées opérées par certains de ses sujets brisaient les canons d'une poésie soviétique confortablement installée. Les soirées poétiques à l'Institut polytechnique faisaient salle comble, les poètes attiraient des dizaines de milliers de spectateurs. Vite il devint la figure de proue de cette génération de la " poésie du stade ". A l'affût de toutes les modernités, il a été un éveilleur du goût et de la conscience. Dans ses Mémoires de près d'un demi-siècle, il retrace dans un style pétillant ses rencontres et ses amitiés avec des personnalités marquantes : son maître Pasternak, le pianiste Richter, les poètes Vyssotski et Okoujava, Tsvetaeva ; Nabokov, mais aussi Aragon, Breton, Arthur Miller... les artistes Picasso, Chagall, Malevitch.... et les politiques Khrouchtchev, Kennedy, Reagan...