Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Cher confrère, ce que vous me dites de ma collection est exact. Depuis dix ans, j'avais offert au Louvre de lui en donner une partie, pour éviter...
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" Cher confrère, ce que vous me dites de ma collection est exact. Depuis dix ans, j'avais offert au Louvre de lui en donner une partie, pour éviter aux savants la peine de se rendre à Abbeville. Le Louvre avait accepté, mais il ne s'y trouvait jamais place, pas même pour une simple vitrine. Ceci vint aux oreilles de l'Empereur. Il me fit appeler à Compiègne. J'y allais. L'Empereur me demanda si je voulais mettre mes pierres à Saint-Germain. Naturellement le répondis : oui, ne demandant pour toute faveur que de les classer moi-même. L'Empereur me répondit que c'était fort juste, et il ajouta gracieusement que cette galerie, prendrait mon nom. Voilà où en sont les choses. " Lettre à Edouard Lartet, 31 mars 1863. Bilan de 25 années de fouilles, le dernier des écrits de Boucher de Perthes, s'offre comme une vaste synthèse, en prélude à l'Exposition universelle de 1867, consacrée à l'histoire du travail, et à l'inauguration du Musée des antiquités nationales.