Publié après la mort de Gaddis, ce long monologue rageur et exubérant apparaît comme le testament littéraire de l'auteur où il tire à boulets rouges sur le divertissement ("cette quête du plaisir abrutie et trouble") associé à la science et à la technologie qui provoque la fin de l'art, de la culture.
Au fil du texte, le personnage crée par Gaddis disparait peu à peu, remplacé par l'auteur lui-même qui se dissout alors dans son œuvre. Magnifique réflexion synthétique des travaux, lectures et expériences de Gaddis, sa parole s'échappe inexorablement comme la longue hémorragie
qui met fin à sa vie d'homme.
Le chant du cygne
Publié après la mort de Gaddis, ce long monologue rageur et exubérant apparaît comme le testament littéraire de l'auteur où il tire à boulets rouges sur le divertissement ("cette quête du plaisir abrutie et trouble") associé à la science et à la technologie qui provoque la fin de l'art, de la culture.
Au fil du texte, le personnage crée par Gaddis disparait peu à peu, remplacé par l'auteur lui-même qui se dissout alors dans son œuvre. Magnifique réflexion synthétique des travaux, lectures et expériences de Gaddis, sa parole s'échappe inexorablement comme la longue hémorragie qui met fin à sa vie d'homme.