A une tombe anonyme - Poche

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Juan Carlos Onetti - A une tombe anonyme.
Qui est cette vieille femme qui vient de mourir dans le bidonville de Santa Maria ? Pourquoi le jeune Jorge Malabia paye-t-il son enterrement ? Et d'où... Lire la suite
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Résumé

Qui est cette vieille femme qui vient de mourir dans le bidonville de Santa Maria ? Pourquoi le jeune Jorge Malabia paye-t-il son enterrement ? Et d'où sort ce bouc qu'il traîne derrière lui dans le cimetière ? Au cœur d'une ville fantomatique d'Amérique du Sud, Juan Carlos Onetti nous entraîne dans sa quête troublante et désespérée.

Caractéristiques

  • Date de parution
    15/05/2008
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-035641-6
  • EAN
    9782070356416
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    130 pages
  • Poids
    0.095 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm

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Au coeur d'une ville fantomatique d'Amérique du Sud, Juan Carlos Onetti nous entraîne dans une quête troublante et désespérée...

À propos de l'auteur

Biographie de Juan Carlos Onetti

Né en 1909 à Montevideo en Uruguay, Juan Carlos Onetti connaît une enfance heureuse. Il interrompt ses études et exerce de nombreux métiers avant de se consacrer au journalisme. En 1930, il se marie pour la première fois (il se mariera quatre fois !) et s’installe à Buenos Aires en Argentine. Contes et nouvelles commencent à paraître et il publie en 1939 son premier roman, Le puits. Il travaille pour l’agence Reuters, où il restera jusqu’en 1954.
En 1950 paraît La vie brève, premier volume du «cycle» de Santa María, une ville mythique aussi cruelle que fascinante, dans laquelle se perd l’homme moderne. Laisson parler le vent clôturera ce cycle en 1979. De retour à Montevideo, il se lie d’amitié avec Luis Batlle Berres, à qui il dédicacera Le chantier, et reçoit en 1962 le prix national de Littérature. Opposant à la dictature de Juan María Bordaberry, il est arrêté et emprisonné quelques mois en 1974, puis relâché après une campagne de protestations internationale ; il part s’installer à Madrid où il collabore au journal El País.
Il reçoit le prix Cervantès, la plus haute distinction littéraire en Espagne, en 1980. Malgré le retour de la démocratie en Uruguay, il décide de rester à Madrid et c’est dans cette ville qu’il meurt en 1994.

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