Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En France, de 1941 à 1945, plusieurs milliers d'hommes - et quelques centaines de femmes - ont porté l'uniforme allemand. Leur motivation principale...
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En France, de 1941 à 1945, plusieurs milliers d'hommes - et quelques centaines de femmes - ont porté l'uniforme allemand. Leur motivation principale annoncée était la guerre contre le bolchevisme. Ces hommes et ces femmes ne faisaient en cela qu'imiter l'exemple des autres pays européens. La plupart d'entre eux étaient mus par la force d'une idéologie, certains par l'intérêt ou le goût de l'aventure. Sont naturellement exclus de cet ouvrage les incorporés de force, Alsaciens et Mosellans, au nombre de 140 000, qui représentaient l'immense majorité des Français au sein de la Wehrmacht. A titre individuel on peut trouver des Français au sein de toutes les unités allemandes, même les plus difficiles à pénétrer. Par exemple, la Leibstandarte Adolf Hitler en compte quelques-uns. Si les unités spécifiquement françaises telles que la LVF ou la division Charlemagne sont bien connues, il n'en est pas de même pour toutes celles, nombreuses, au sein desquelles des Français se sont portés volontaires pour revêtir l'uniforme allemand. Combattants ou auxiliaires de l'armée et de la police, qu'il convient de distinguer en raison de leur utilisation, ils sont présents sur tous les fronts. En France, afin d'assurer la sécurité sur les arrières de la Wehrmacht, à l'Est, en Italie et même en Afrique du Nord, vêtus de tenues disparates et porteurs d'insignes mal connus. C'est après un demi-siècle que Pierre-Philippe Lambert et Gérard Le Marec ont recherché dans cette guerre les protagonistes que l'histoire officielle n'a pas retenus.