Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Plus profondément je rentre en moi-même, plus attentivement j'examine toute ma vie passée, et plus je me convaincs de la rigoureuse vérité de cette...
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" Plus profondément je rentre en moi-même, plus attentivement j'examine toute ma vie passée, et plus je me convaincs de la rigoureuse vérité de cette expression. De trop : c'est bien cela... de moi, il n'y a pas moyen de dire autre chose : homme de trop, c'est tout." Tourguéniev écrivit Le journal d'un homme de trop en 1850. Publié en France en 1863, le succès fut immédiat. Cette nouvelle contient tout le génie du plus russe des romanciers russes : d'une part l'amour passionné de la nature, des grands espaces, des forêts de bouleaux, des oiseaux sauvages; de l'autre, des personnages fragiles, inquiets, velléitaires, incapables d'exprimer les passions qui les habitent.
Tourguéniev écrivit Le journal d'un homme de trop en 1850. Publié en France en 1863, le succès fut immédiat. Cette nouvelle contient tout le génie du plus russe des romanciers russes.