Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre...
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Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre a écrit sur le rugby des pages d'anthologie. Antoine Blondin aura aimé, d'amour tendre et désespéré, la littérature, l'amitié et le sport. Surtout le rugby, amour tardif, mais qui le conduisit à chroniquer des matches du Tournoi, ou du Championnat ; ou bien à digresser sur l'essence britannique de ce jeu. On retrouve au fil de ce florilège ses héros de légende - Dauga, Prat, les frères Boniface, Mias, Rives -, des considérations sur le jeu dur, une nouvelle cocasse de Quat' saisons où l'on reconnaît Guy Boniface, une séquence de Monsieur jadis, restée fameuse, où, accompagné de Roger Nimier, le narrateur se rend à Twickenham pour assister à un France-Angleterre... dans un pub, à cent mètres du stade. Mais en se levant au moment des hymnes pour entonner La Marseillaise.
Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre a écrit sur le rugby des pages d'anthologie. Florilège...