Un conseil : Pour savourer pleinement ce roman comme un bon vin, fermez les yeux, laissez les descriptions des vignobles, le goût du vin titiller vos sens ou bien déguster un verre de bon vin en laissant vos pensées vagabonder au fil des pages de ce premier roman des vignobles français à ceux de la Napa Valley.
30 juin 1896, New York.
Sarah Thibault ne s’attendait pas à ça en arrivant en Amérique. Et sa culpabilité face à son lourd secret ne cessera de la hanter et ce malgré la distance. On a beau fuir, le passé nous rattrape toujours.
1895, Vouvray.
Sarah est la digne
héritière du clos de Saint-Martin, le vignoble familial. Celle qui fait la fierté de son père à la passion du vin et de l’héritage familial au grand dam de sa mère qui ne souhaite pas voir sa fille faire des tâches réservées aux hommes.
Pour les Thibault, l’année 1895 sera celle d’une année maudite. Le phylloxéra, les dettes, la mort brutale de son père, le rachat du domaine par les Lemieux et cette nuit horrible qui les a obligé à fuir là où on ne les retrouverait pas.
Leur arrivée en Amérique est très loin d’un conte de fées. Après le redoutable passage à Ellis Island, elles n’ont d’autres choix que de vivre au couvent le temps que Lydie ait son bébé.
C’est là que Sarah voit l’espoir renaître quand elle entend parler de la Napa Valley, lieu emblématique du vin et des plus beaux domaines viticoles américains.
De hasard en rencontres, Sarah se retrouve à travailler dans le vignoble de Philippe. Fasciné par l’audace de la jeune femme, il en tombe amoureux, de même pour Sarah qui est fortement troublée par cette attirance malgré son lourd secret qui la condamne à nier l’évidence.
Que fera Philippe s’il venait à découvrir la vérité ?
Ne connaissant pas grand-chose à la vie aux Etats-Unis à cette époque, j’ai lu avec avidité le combat de Sarah pour accomplir son rêve et obtenir justice. Les thèmes abordés sont des plus intéressants (le travail de la terre, les difficultés rencontrées avec le phylloxéra, de la prohibition de l’alcool, des suffragettes avec le droit de vote des femmes, des immigrés Chinois, Italiens venus en Amérique pour une meilleure vie) et j’espère qu’ils seront davantage développés dans le second tome.
L’auteur nous fait partager son amour du vin et des vignobles avec passion avec sa plume magnifique et prenante dévoilant un premier roman bouleversant de forces et de courage !
Une romance viticole sur fond d’exil aux soupçons d’interdits !
Le courage d’une femme prête à se battre pour réaliser ses rêves !
Un conseil : Pour savourer pleinement ce roman comme un bon vin, fermez les yeux, laissez les descriptions des vignobles, le goût du vin titiller vos sens ou bien déguster un verre de bon vin en laissant vos pensées vagabonder au fil des pages de ce premier roman des vignobles français à ceux de la Napa Valley.
30 juin 1896, New York.
Sarah Thibault ne s’attendait pas à ça en arrivant en Amérique. Et sa culpabilité face à son lourd secret ne cessera de la hanter et ce malgré la distance. On a beau fuir, le passé nous rattrape toujours.
1895, Vouvray.
Sarah est la digne héritière du clos de Saint-Martin, le vignoble familial. Celle qui fait la fierté de son père à la passion du vin et de l’héritage familial au grand dam de sa mère qui ne souhaite pas voir sa fille faire des tâches réservées aux hommes.
Pour les Thibault, l’année 1895 sera celle d’une année maudite. Le phylloxéra, les dettes, la mort brutale de son père, le rachat du domaine par les Lemieux et cette nuit horrible qui les a obligé à fuir là où on ne les retrouverait pas.
Leur arrivée en Amérique est très loin d’un conte de fées. Après le redoutable passage à Ellis Island, elles n’ont d’autres choix que de vivre au couvent le temps que Lydie ait son bébé.
C’est là que Sarah voit l’espoir renaître quand elle entend parler de la Napa Valley, lieu emblématique du vin et des plus beaux domaines viticoles américains.
De hasard en rencontres, Sarah se retrouve à travailler dans le vignoble de Philippe. Fasciné par l’audace de la jeune femme, il en tombe amoureux, de même pour Sarah qui est fortement troublée par cette attirance malgré son lourd secret qui la condamne à nier l’évidence.
Que fera Philippe s’il venait à découvrir la vérité ?
Ne connaissant pas grand-chose à la vie aux Etats-Unis à cette époque, j’ai lu avec avidité le combat de Sarah pour accomplir son rêve et obtenir justice. Les thèmes abordés sont des plus intéressants (le travail de la terre, les difficultés rencontrées avec le phylloxéra, de la prohibition de l’alcool, des suffragettes avec le droit de vote des femmes, des immigrés Chinois, Italiens venus en Amérique pour une meilleure vie) et j’espère qu’ils seront davantage développés dans le second tome.
L’auteur nous fait partager son amour du vin et des vignobles avec passion avec sa plume magnifique et prenante dévoilant un premier roman bouleversant de forces et de courage !
Une romance viticole sur fond d’exil aux soupçons d’interdits !