Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Soixante-cinq morceaux caractérisés par leur extrême brièveté. Soixante-dix personnages sans aucun rapport entre eux composent ce stéréoscope....
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Soixante-cinq morceaux caractérisés par leur extrême brièveté. Soixante-dix personnages sans aucun rapport entre eux composent ce stéréoscope. Au détour des pages, on rencontre un centaure famélique qui peint des natures mortes oniriques ; une poule lectrice de maison d'édition qui mange les manuscrits qu'elle n'aime pas ; un couple d'amants décidé à ne plus sortir du lit, et qui, insensiblement, passe des caresses au cannibalisme ; Méduse, poétesse malheureuse, si méchante qu'elle ne veut pas se tuer, pour pouvoir au moins se punir elle-même... Poète de l'absurde, Wilcock nous dépeint un bestiaire fantastique avec un humour noir et troublant, dans une écriture toujours parfaitement élégante ; où la surprise est toujours présente, l'inspiration toujours neuve, le plaisir toujours différent.
Soixante-cinq morceaux d'une extrême brièveté composent ce stéréoscope. Poète de l'absurde, Wilcock nous dépeint un bestiaire fantastique avec un humour noir et troublant, dans une écriture toujours parfaitement élégante.