(pardon, c'est juste de moi-ndlr..). Plus facile à lire que l'aride célébrissime Tractatus, ces Cahiers dans lesquels Wittgenstein notait ses réflexions, sont en réalité un work in progress rendu possible par l'expérience de pensée extrême sur laquelle achoppait le fameux Tractatus Philosophico-logicus. La philosophie des jeux de langage, le "second Wittgenstein" témoigne d'une ouverture au monde proprement philosophique sans jamais délivrer de leçon de philosophie : il met en lumière la nécessité de se pencher sur la question de la qualité, l'intensité, des relations entre les
termes (par exemple au hasard, l'esprit et la matière), leurs agencements singuliers, plus qu'aux termes en eux-mêmes . Se faisant il nous plaçait devant l'alternative suivante : jouer ou mourir. (car, comme dit Nabilla," tout le monde meurt, mais tout le monde ne vit pas.."). Il est crucial pour chacun de n'en point faire l'économie car oui, l'ennui est une chose mortelle.
"dis moi à quoi tu joues je te dirai qui tu es"
(pardon, c'est juste de moi-ndlr..). Plus facile à lire que l'aride célébrissime Tractatus, ces Cahiers dans lesquels Wittgenstein notait ses réflexions, sont en réalité un work in progress rendu possible par l'expérience de pensée extrême sur laquelle achoppait le fameux Tractatus Philosophico-logicus. La philosophie des jeux de langage, le "second Wittgenstein" témoigne d'une ouverture au monde proprement philosophique sans jamais délivrer de leçon de philosophie : il met en lumière la nécessité de se pencher sur la question de la qualité, l'intensité, des relations entre les termes (par exemple au hasard, l'esprit et la matière), leurs agencements singuliers, plus qu'aux termes en eux-mêmes . Se faisant il nous plaçait devant l'alternative suivante : jouer ou mourir. (car, comme dit Nabilla," tout le monde meurt, mais tout le monde ne vit pas.."). Il est crucial pour chacun de n'en point faire l'économie car oui, l'ennui est une chose mortelle.