Genesis est un chef-d’oeuvre d’intelligence, un roman haletant et ambitieux qui, sous forme de dystopie propose une réflexion profonde sur un thème essentiel.
Qu’est-ce qu’un homme? (au sens large du terme)
Qu’est-ce qui le différencie de la plus performante des machines ?
En quoi l’esprit humain peut-il être supérieur à l’intelligence artificielle ?
La construction du roman repose sur l’alternance de deux phases qui s’entrecroisent du début à la fin du livre.
L’une est celle de la soutenance de sa thèse (« La vie et l’oeuvre d’Adam Forde »), devant
un jury, par Anaximandre, qui vise une place au sein de l’illustre Académie.
L’autre est la joute oratoire qui oppose Adam Forde, terroriste incarcéré, à Art, prototype de robot dernière génération qui n’est auprès de lui que pour le mettre à l’épreuve.
Le lecteur progresse dans l’histoire, happé par les réflexions philosophiques qui s’enchaînent, et dont le fondement étaye les principes de cette nouvelle société futuriste où l’homme et la machine se disputent la supériorité.
La chute, inattendue, stupéfiante, est un vrai cadeau d’adieu de l’auteur et clôt magistralement ce roman atypique et génial.
Eblouissant.
Genesis est un chef-d’oeuvre d’intelligence, un roman haletant et ambitieux qui, sous forme de dystopie propose une réflexion profonde sur un thème essentiel.
Qu’est-ce qu’un homme? (au sens large du terme)
Qu’est-ce qui le différencie de la plus performante des machines ?
En quoi l’esprit humain peut-il être supérieur à l’intelligence artificielle ?
La construction du roman repose sur l’alternance de deux phases qui s’entrecroisent du début à la fin du livre.
L’une est celle de la soutenance de sa thèse (« La vie et l’oeuvre d’Adam Forde »), devant un jury, par Anaximandre, qui vise une place au sein de l’illustre Académie.
L’autre est la joute oratoire qui oppose Adam Forde, terroriste incarcéré, à Art, prototype de robot dernière génération qui n’est auprès de lui que pour le mettre à l’épreuve.
Le lecteur progresse dans l’histoire, happé par les réflexions philosophiques qui s’enchaînent, et dont le fondement étaye les principes de cette nouvelle société futuriste où l’homme et la machine se disputent la supériorité.
La chute, inattendue, stupéfiante, est un vrai cadeau d’adieu de l’auteur et clôt magistralement ce roman atypique et génial.