XIX° siècle, une forêt sauvage dans la Russie des Tsars, par un hiver glacial et enneigé, voici le cadre donné par l'auteur à ce roman captivant, qui nous offre le privilège de rencontrer une authentique héroïne, Féodora, farouche, courageuse, et déterminée. Son cœur bat au même rythme que celui de « ses » loups, fascinants de beauté, protecteurs, et fidèles compagnons : ils lui doivent à elle et à sa mère la chance d'une seconde vie, et sont à ses côtés à chaque moment de sa quête: la liberté d'exister, de vivre libres, et comme elles l'entendent.
L'ambition de Féodora
se transforme même peu à peu en résistance face à un pouvoir sanguinaire qu'elle doit à tout prix combattre pour arriver à ses fins, aidée en cela par diverses rencontres, qui apportent une certaine épaisseur à l'histoire.
Simple mais poétique, lumineux et ponctué de belles illustrations noir et blanc, ce texte est porté par un souffle manichéen, généreux, envoûtant, et quand arrive le point final, on se frotte les yeux comme au sortir d'un rêve feutré et profond.
Onirique et romanesque.
XIX° siècle, une forêt sauvage dans la Russie des Tsars, par un hiver glacial et enneigé, voici le cadre donné par l'auteur à ce roman captivant, qui nous offre le privilège de rencontrer une authentique héroïne, Féodora, farouche, courageuse, et déterminée. Son cœur bat au même rythme que celui de « ses » loups, fascinants de beauté, protecteurs, et fidèles compagnons : ils lui doivent à elle et à sa mère la chance d'une seconde vie, et sont à ses côtés à chaque moment de sa quête: la liberté d'exister, de vivre libres, et comme elles l'entendent.
L'ambition de Féodora se transforme même peu à peu en résistance face à un pouvoir sanguinaire qu'elle doit à tout prix combattre pour arriver à ses fins, aidée en cela par diverses rencontres, qui apportent une certaine épaisseur à l'histoire.
Simple mais poétique, lumineux et ponctué de belles illustrations noir et blanc, ce texte est porté par un souffle manichéen, généreux, envoûtant, et quand arrive le point final, on se frotte les yeux comme au sortir d'un rêve feutré et profond.