Le Trompeur de Séville et l'Invité de pierre

Edition bilingue français-espagnol

Note moyenne 
 Tirso de Molina - Le Trompeur de Séville et l'Invité de pierre.
Le Trompeur de Séville, sans vergogne, se moque de tous. Bafouant l'autorité du roi de Castille et de son père, abusant des femmes, paysannes ou... Lire la suite
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Résumé

Le Trompeur de Séville, sans vergogne, se moque de tous. Bafouant l'autorité du roi de Castille et de son père, abusant des femmes, paysannes ou nobles dames, il use des plus vils stratagèmes, usurpation d'identité, outrage au sacrement du mariage, fidèle en cela à son credo : jouir maintenant, sans se soucier des conséquences... jusqu'à la punition divine. Tirso de Molina nous entraîne tambour battant, d'Italie en Catalogne, de Catalogne en Castille : Naples, Tarragone, Séville...
Dans ce joyau de la littérature espagnole du XVIIe siècle, il donne naissance à une figure mythique de l'imaginaire occidental : don Juan.

Caractéristiques

  • Date de parution
    31/05/2012
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-044777-0
  • EAN
    9782070447770
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    331 pages
  • Poids
    0.173 Kg
  • Dimensions
    10,8 cm × 17,8 cm × 1,5 cm

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Le Trompeur de Séville, sans vergogne, se moque de tous... Dans ce joyau de la littérature espagnole du XVII ? siècle, Tirso de Molina donne naissance à une figure mythique de l'imaginaire occidental : don Juan.

À propos de l'auteur

Biographie de Tirso de Molina

Tirso de Molina (1579-1648) est le pseudonyme de frère Gabriel Téllez : né à Madrid, il est entré dans l'ordre de la Merci en 1600. On trouve trace de son passage dans de très nombreuses villes du royaume de Castille avec, comme étapes principales, Séville, d'où il s'embarque pour un séjour de deux ans à Saint-Domingue (1616-1618), et Madrid, où tout en assumant de hautes charges inhérentes à sa vie monastique, il connaît ses plus intenses heures de gloire littéraire (1620- 1625).
Mais un édit le condamne en 1625 à l'exil, en tant qu'auteur de pièces profanes et source de mauvais exemple. De son oeuvre abondante (plus de quatre cents pièces), il ne reste à ce jour que six autos sacramentales (pièce en un acte ayant pour thème le mystère de l'Eucharistie) pour son oeuvre sacrée et quelque quatre-vingts pièces pour son oeuvre profane, parmi lesquelles Don Gil aux chausses vertes (1615), Le Timide au palais (1624), Le Trompeur de Séville et l'Invité de pierre (1630), La Vengeance de Tamar (1632).
Tirso de Molina meurt en Espagne, à Almazàn, en 1648.

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