Restée un tantinet sur ma faim lors de ma première approche avec un autre roman signé Marco Steiner sur Corto Maltese, j'espère beaucoup avec celui-ci. Comme il est signé par le défunt géniteur du héros, je me dis que j'emprunte des sentiers plus balisés, plus sûrs.
Me voilà donc lancée et c'est un Corto Maltese enfant (10 ans) qui me prend par la main.
Très vite par la suite, c'est un jeune homme qui prend le relais et je me suis dis : les choses sérieuses commencent.
Beaucoup de descriptions plantent les décors, les ambiances de chaque scènes.
De même, les protagonistes
nous sont abondamment décris.
Rien n'est laissé au hasard, tout est sous contrôle. Presque trop encore une fois car je me sens un peu prisonnière de ces ornières. Mon imaginaire est guidé, mais aussi bridé par tant d'informations. Tout ce bien ne m'est pas si bénéfique que cela. Quel dommage !
Ceci dit, je découvre comme je l'espérais un peu plus le personnage emblématique qu'est Corto Maltese. Et j'avoue qu'il me plaît assez : beau jeune homme malin et ténébreux, pas mal d'esprit avec une immense capacité d'adaptation à toute situation.
Le monde de la mer n'est pas le mien. Je suis une terrestre indéniablement. Si j'aime voir la mer, je ne m'y frotte guère ou prudemment. Je ne rentre donc que partiellement dans le récit pourtant loin d'être mauvais.
Même avec l'univers de piraterie, je ne plonge pas tout à fait. En fait, je crois que même la période historique ne me convient pas vraiment. Je suis plus tournée vers le XVII ème ou le XVIII ème. Oui, je suis difficile car je cherche vraiment la petite bête. Ce roman est bon, intéressant, l'écriture fluide et agréable, mais je ne parviens pas à monter à bord complètement. L'osmose ne se fait pas alors que je pense que ce titre ravira plus d'un lecteur.
Je n'ai pas bu la tasse
Restée un tantinet sur ma faim lors de ma première approche avec un autre roman signé Marco Steiner sur Corto Maltese, j'espère beaucoup avec celui-ci. Comme il est signé par le défunt géniteur du héros, je me dis que j'emprunte des sentiers plus balisés, plus sûrs.
Me voilà donc lancée et c'est un Corto Maltese enfant (10 ans) qui me prend par la main.
Très vite par la suite, c'est un jeune homme qui prend le relais et je me suis dis : les choses sérieuses commencent.
Beaucoup de descriptions plantent les décors, les ambiances de chaque scènes.
De même, les protagonistes nous sont abondamment décris.
Rien n'est laissé au hasard, tout est sous contrôle. Presque trop encore une fois car je me sens un peu prisonnière de ces ornières. Mon imaginaire est guidé, mais aussi bridé par tant d'informations. Tout ce bien ne m'est pas si bénéfique que cela. Quel dommage !
Ceci dit, je découvre comme je l'espérais un peu plus le personnage emblématique qu'est Corto Maltese. Et j'avoue qu'il me plaît assez : beau jeune homme malin et ténébreux, pas mal d'esprit avec une immense capacité d'adaptation à toute situation.
Le monde de la mer n'est pas le mien. Je suis une terrestre indéniablement. Si j'aime voir la mer, je ne m'y frotte guère ou prudemment. Je ne rentre donc que partiellement dans le récit pourtant loin d'être mauvais.
Même avec l'univers de piraterie, je ne plonge pas tout à fait. En fait, je crois que même la période historique ne me convient pas vraiment. Je suis plus tournée vers le XVII ème ou le XVIII ème. Oui, je suis difficile car je cherche vraiment la petite bête. Ce roman est bon, intéressant, l'écriture fluide et agréable, mais je ne parviens pas à monter à bord complètement. L'osmose ne se fait pas alors que je pense que ce titre ravira plus d'un lecteur.