Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La commission de déontologie de la fonction publique de l'Etat est obligatoirement consultée par les administrations pour l'application des dispositions...
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La commission de déontologie de la fonction publique de l'Etat est obligatoirement consultée par les administrations pour l'application des dispositions statutaires qui interdisent aux fonctionnaires mis en disponibilité ou ayant cessé définitivement leurs fonctions d'exercer des activités privées incompatibles avec leurs fonctions précédentes.
Elle fonctionne depuis le mois de mars 1995 et le présent rapport, qui concerne l'année 1998, est le quatrième qu'elle a remis au Premier ministre.
Comme les précédents rapports, il contient d'abord un bilan chiffré, qui permet de constater que la commission a émis, dans un nombre de cas limité, mais significatif, soit un avis défavorable à un projet d'activité privée, soit un avis favorable sous réserve que cette activité s'exerce dans des conditions destinées à sauvegarder le fonctionnement normal, l'indépendance ou la neutralité du service. Il peut, par exemple, être demandé à l'intéressé de s'abstenir, dans l'exercice de son activité privée, d'intervenir dans le secteur géographique ou il était précédemment affecté, d'avoir des relations avec ses anciens collègues ou avec les organismes qu'il contrôlait, de s'occuper d'affaires dont il avait eu à connaÎtre comme fonctionnaire, de concurrencer son ancien service.
Le rapport présente ensuite une analyse de la jurisprudence de la commission, qui précise, à la lumière des cas concrets examinés par elle, la portée des interdictions formulées en termes nécessairement généraux par les textes statutaires.
Enfin, en conclusion, il suggère certaines modifications qui pourraient être apportées aux textes en vigueur.