Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce volume contient les quatre dernières pièces de Kleist, écrites entre 1800 et 1811, année de sa mort : Penthésilée, Kitthchen de Heilbronn, La...
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Résumé
Ce volume contient les quatre dernières pièces de Kleist, écrites entre 1800 et 1811, année de sa mort : Penthésilée, Kitthchen de Heilbronn, La Bataille d'Hermann et Le Prince von Homburg. Aucune comédie, mais quatre drames ambitieux qui sont des références dans le répertoire théâtral - références souvent purement mythiques tant sont rares les gens de théâtre qui osent les aborder. Kleist reste un dramaturge qui fascine et fait peur en même temps. L'ambivalence avec laquelle on accueille ces dernières œuvres s'explique sans doute par le fait que les grandes pièces de Kleist sont moins des drames que des poèmes épiques : elles donnent trop au théâtre. Elles encombrent la scène d'armées de chevaliers, de cohortes romaines, d'escadrons d'éléphants, de meutes de chiens, comme elles encombrent la bouche des acteurs contraints à l'expérience périlleuse de cette langue baroque qui monte, s'élève, plane, s'effondre, se distend, se ramasse pour s'élever encore, comme Penthésilée, reine des Amazones au ceinturon de diamants, gravissant à cheval une falaise abrupte pour essayer de capturer Achille. Le théâtre de Kleist est un théâtre de la violence et de l'effroi. Un théâtre qui exige de la hardiesse et ne peut trouver sa place peut-être qu'en dehors du théâtre.
Ce deuxième tome contient les quatre dernières pièces de Kleist, écrites entre 1806 et 1811. Aucune comédie, mais quatre drames ambitieux qui sont des références dans le répertoire théâtral - références souvent purement mythiques tant sont rares les gens de théâtre qui osent les aborder. Kleist reste un dramaturge qui fascine et fait peur en même temps. L'ambivalence avec laquelle on accueille ces dernières oeuvres s'explique sans doute par le fait que les grandes pièces de Kleist sont moins des drames que des poèmes épiques : elles donnent trop au théâtre. Elles encombrent la scène d'armées de chevaliers, de cohortes romaines, d'escadrons d'éléphants, de meutes de chiens, comme elles encombrent la bouche des acteurs contraints à l'expérience périlleuse de cette langue baroque qui monte, s'élève, plane, s'effondre, se distend, se ramasse pour s'élever encore, comme Penthésilée, reine des Amazones au ceinturon de diamants, gravissant à cheval une falaise abrupte pour essayer de capturer Achille. Le théâtre de Kleist est un théâtre de la violence et de l'effroi. Un théâtre qui exige de la hardiesse et ne peut trouver sa place peut-être qu'en dehors du théâtre. Ce volume contient : Penthésilée - Kätchen de Heilbronn - La Bataille d'Hermann - Le Prince von Homburg.