A Madrid, Matias Moro, un employé de bureau timide, solitaire et casanier, rencontre par hasard la jeune et belle Martina dans un squat de la ville. Très vite, il en tombe amoureux mais est incapable de lui avouer ses sentiments. Il va donc chercher un moyen détourné de lui venir en aide, d'être son sauveur et ainsi de se faire aimer d'elle. L'idée folle lui vient de racheter une usine d'emballages désaffectée afin de lui offrir un emploi. Poussé et secondé par ses collègues de travail, il se lance dans l'aventure.
Plus de quinze jours pour venir à bout de cette histoire sans intérêt!
Dans un style plat et ennuyeux, Luis Landero nous décrit par le menu les hésitations sans fin de son anti-héros. Toujours partagé entre la raison et les sentiments, Matias Moro laisse la vie, les autres, les circonstances décider pour lui. Certes, il finit par se jeter dans le bain de la création d'entreprise mais toujours avec un recul et un pessimisme patents. Au final, il ne se passe rien. Son amour pour Martina ne sera jamais dévoilé et il se retrouve à son point de départ à la fin du livre. Les personnages, assez étranges, sont soit énervants, soit insignifiants, mais en aucun cas attachants. On l'aura compris, je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je n'y ai trouvé ni passion ni humour mais plutôt de l'ennui et de la platitude.
Mortel ennui
A Madrid, Matias Moro, un employé de bureau timide, solitaire et casanier, rencontre par hasard la jeune et belle Martina dans un squat de la ville. Très vite, il en tombe amoureux mais est incapable de lui avouer ses sentiments. Il va donc chercher un moyen détourné de lui venir en aide, d'être son sauveur et ainsi de se faire aimer d'elle. L'idée folle lui vient de racheter une usine d'emballages désaffectée afin de lui offrir un emploi. Poussé et secondé par ses collègues de travail, il se lance dans l'aventure.
Plus de quinze jours pour venir à bout de cette histoire sans intérêt! Dans un style plat et ennuyeux, Luis Landero nous décrit par le menu les hésitations sans fin de son anti-héros. Toujours partagé entre la raison et les sentiments, Matias Moro laisse la vie, les autres, les circonstances décider pour lui. Certes, il finit par se jeter dans le bain de la création d'entreprise mais toujours avec un recul et un pessimisme patents. Au final, il ne se passe rien. Son amour pour Martina ne sera jamais dévoilé et il se retrouve à son point de départ à la fin du livre. Les personnages, assez étranges, sont soit énervants, soit insignifiants, mais en aucun cas attachants. On l'aura compris, je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je n'y ai trouvé ni passion ni humour mais plutôt de l'ennui et de la platitude.