Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le dos. Tout s'y lit l'or bleu du désir l'eau qui dort sous
Le sable des caresses attendues le frisson du réveil
Comme une vague ramène le matin...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Le dos. Tout s'y lit l'or bleu du désir l'eau qui dort sous
Le sable des caresses attendues le frisson du réveil
Comme une vague ramène le matin sur la peau
On voudrait s'y étendre y mourir à son tour
Et la fine rainure qu'on suit avec le pouce
De la nuque aux reins comme un poème vertébré
Partage l'est du sommeil et l'ouest des plaisirs
Quand il est l'heure de lire le menu de la nuit avec
Les doigts.
De la nuque à la mort (" l'ultime nudité "), en passant par les cils, l'épaule, les reins, la peau à l'intérieur des cuisses, ou encore le bleu du ciel, la neige, le vin ou la lenteur, Alain Duault, Grand Prix de poésie de l'Académie française 2002 pour Où vont nos nuits perdues, égrène un chapelet de brefs blasons qui disent le corps féminin et la vibration secrète des choses - fragments de beauté épelés pour tenter de comprendre quelque chose au monde.
Alain Duault, Grand Prix de poésie de l'Académie française 2002 pour Où vont nos nuits perdues, égrène un chapelet de brefs blasons qui disent le corps féminin et la vibration secrète des choses...