Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Quand, en 1905, Louis Feuillade se lance dans l'aventure du 7e art, le cinématographe n'est encore qu'un divertissement forain. Scénariste et réalisateur,...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Quand, en 1905, Louis Feuillade se lance dans l'aventure du 7e art, le cinématographe n'est encore qu'un divertissement forain. Scénariste et réalisateur, directeur artistique de la Gaumont, il va contribuer à lui donner ses lettres de noblesse. Films historiques, comédies ou drames, Feuillade s'essaie à tous les genres. A partir de 1913, ses films policiers à épisodes - Fantômas, Les Vampires ou encore Judex -, où les héros sont d'ingénieux criminels ou de ténébreux justiciers, le mènent au sommet de sa carrière. Dans un climat à la fois réaliste et poétique, il filme des poursuites sur les toits ou dans les égouts de Paris, suit la ténébreuse et envoûtante Irma Vep dans les couloirs d'hôtel, installe Judex dans les souterrains d'un château en ruine. Toujours il atteint son objectif : séduire le grand public. Réalisateur de 800 films entre 1905 et 1925, Louis Feuillade est le maître du cinéma populaire. Patrice Gauthier et Francis Lacassin font revivre cette période exceptionnelle de l'histoire du cinéma, qui voit l'émergence d'une industrie et la reconnaissance d'un art nouveau, et dressent un portrait sensible du cinéaste, successeur des frères Lumière et de Georges Méliès.
Réalisateur de 800 films entre 1905 et 1925, Louis Feuillade, successeur des frères Lumière et de Georges Méliès, est le maître du cinéma populaire. Patrice Gauthier et Francis Lacassin font revivre cette période exceptionnelle, qui voit l'émergence d'une industrie et la reconnaissance d'un art nouveau.