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En 1938, Max Jacob exprime son voeu à Jean Denoël et à l'abbé Fleureau, curé de Saint-Benoît-sur-Loire, que ses méditations quotidiennes soient un jour publiées. L'originalité de ces textes d'une grande diversité vient de la présence des Ecritures et en particulier de celle des Epîtres de saint Paul. Mais ce qui domine par-dessus tout, c'est la tendresse de l'homme vieillissant dans les années de guerre avec ses appels au secours pour ses parents déportés, pour ses amis emprisonnés.
Ces méditations sont "l'école de vie intérieure" déjà annoncée dans L'Art poétique.