Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce troisième et dernier volume de la Correspondance de Hegel s'étend de l'année 1823 jusqu'à sa mort survenue en 1831. Durant ces années où Hegel...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Ce troisième et dernier volume de la Correspondance de Hegel s'étend de l'année 1823 jusqu'à sa mort survenue en 1831. Durant ces années où Hegel consacre presque toute son activité à son enseignement à l'Université de Berlin, commence à se former une école hégélienne étroitement attachée à sa doctrine et, malgré les attaques hargneuses de ses adversaires, Hegel apparaît comme le maître incontesté de la philosophie allemande.
Au premier rang de ses admirateurs, il convient de citer Victor Cousin, auquel le lie une étroite amitié dont leur correspondance apporte le témoignage, et qui s'efforce de faire connaître en France la philosophie hégélienne. La dédicace à Hegel de la traduction du Gorgias de Platon par Cousin, que nous publions en annexe avec d'autres documents, exprime avec chaleur cette amitié et cette admiration.
On lira avec un intérêt particulier les lettres adressées après Hegel à sa femme lors de son voyage à Paris (" cette capitale du monde civilisé ") en septembre 1827, et dans lesquelles s'exprime, en même temps que sa reconnaissance pour l'accueil amical de cousin, son intérêt très vif pour les formes les plus diverses de la culture française, qu'il s'agisse du musée du Louvre, d'une illustre tragédienne du théâtre-Français ou d'un pèlerinage à Montmorency en mémoire de Jean-Jacques Rousseau.