Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Au moment où le Mandat anglais sur la Palestine prend fin, le 14 mai 1948, la première guerre israélo-arabe a déjà commencé.
Jacques de Reynier...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Au moment où le Mandat anglais sur la Palestine prend fin, le 14 mai 1948, la première guerre israélo-arabe a déjà commencé.
Jacques de Reynier dirige, la petite antenne - dix-huit personnes - dont le Comité International de la Croix-Rouge est parvenu à imposer la présence aux belligérants. Il est à la fois un acteur déterminé et l'un des rares témoins neutres des événements.
La situation en Palestine, pendant l'année que dure ce premier conflit est extraordinairement complexe, mouvante et dangereuse. Jacques de Reynier essaie d'intervenir partout. Il est présent dans les moments les plus tragiques Il négocie avec les autorités légales, compose avec les groupes armés, passe et repasse entre les lignes de feu, prend soin des prisonniers, des blessés et des réfugiés.
Il parvient - c'est une première et un exploit - à créer deux zones de sécurité que les parties respectent.
Son témoignage, publié une année après les faits, restitue l'inconcevable confusion d'un pays en proie à la force, à la famine et au chaos.
Il fallait rééditer le livre de Jacques de Reynier. Il permet de prendre la mesure des changements survenus depuis cette époque qui manquait de tout, mais où les membres du CICR, contrairement à aujourd'hui, parvinrent toujours en fin de compte à .,se rendre sur les lieux où leur travail les appelait. Il permet aussi de saisir, dans son étonnante continuité, la logique implacable d'une guerre sans fin, où les tenants de la politique du pire, de part et d'autre, refusent toute concession et s'acharnent à ruiner les espoirs de paix.
Sommaire
Dimanche de Pâques, Saint-Sépulcre et Colonnes de Salomon
Les débuts de la mission CICR
De la question des hôpitaux à celle des Conventions
Payer d'exemple
Quelques incidents
Les zones de sécurité sous le drapeau CICR
La guerre, du mois de mai à la première trêve (11 juin 1948)