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À découvrir
La deuxième enquête du département V de Carl et Assad est tout aussi bonne que la première mais beaucoup plus noire et terrifiante.
L'enquête est prenante et bien menée. Même si on connait les accusés dès le début du livre, on ne s'attend pas à une telle fin.
Personnellement je ne m'attendais pas non plus à autant de violence... J'ai d'ailleurs eu un peu de mal avec tout cela.
Par contre, l'arrivée dans l'équipe de Rose est utile. Cela donne des petites respirations salvatrices.
Même si on n'a pas besoin d'avoir lu la première enquête pour comprendre la seconde, on retrouve
pas mal d'allusions et on suppose que les futures enquêtes en feront encore.
Je recommande et bien entendu me rue sur la 3e enquête :)
Dès le départ on connait les coupables, ce qui permet de se concentrer sur d'autres points de l'histoire. J'ai beaucoup aimé le principe.
Malgré cela l'histoire garde beaucoup de suspens et d'énigmes, notamment la fin qui nous réserve quelques surprises.
Les seul points négatifs (mise à part les noms des personnages et des villes, voir même des rues, qui ne sont pas retenables.), sont les passages où ils torturent les animaux. Le passage du renard est assez triste. Mais dans l'ensemble c'est un bon polar et je me suis attachée aux personnages.
Si l’intérêt d’une série se mesurait au temps qui s’écoule entre la lecture de deux tomes, Les enquêtes du département V de Jussi Adler Olsen seraient dans le peloton de tête parmi celles que j’ai lues ! Je laisse s’écouler beaucoup plus de temps avant d’attaquer une suite, habituellement. Mais l’idée de retrouver Carl Mørck, plus grincheux que jamais, et son adjoint Assad, toujours prêt à proposer son aide pour réouvrir des dossiers de crimes jamais résolus, m’a embarquée dès que j’ai vu ce livre à la bibliothèque.
Le dossier que le duo d’enquêteurs trouve
sur le sommet de la pile qui les attend dans leur sous-sol, est atypique, puisqu’un coupable s’est déclaré plusieurs années après les faits, et qu’il purge une peine de prison.
Deux adolescents, frère et sœur, avaient été sauvagement battus et laissés morts dans une maison de campagne. Les soupçons s’étaient portés sur un groupe de jeunes de bonne famille, et finalement, l’un d’entre eux avait fini par avouer. Alors pourquoi et qui a ressorti ce dossier ? Et qui est cette femme sans domicile qui arpente les rues de Copenhague en se méfiant de personnes qui semblent la suivre ? Que sont devenus vingt ans après ces jeunes ?
Le duo d’enquêteurs, auquel s’adjoint une secrétaire nommée Rose, va avoir bien du mal avec cette enquête qui dérange pas mal de monde…
Le deuxième volet de la série se révèle à la hauteur du premier, et se dévore sans guère laisser de répit ! Si les coupables ne sont pas vraiment inconnus du lecteur, la tension monte pour savoir s’ils vont être rattrapés par la justice ou non, quelles étaient leurs motivations et quel rôle chacun a réellement joué… C’est bien fait, avec les petites touches d’humour dues aux relations entre les membres de l’improbable trio d’enquêteurs, qui permettent des respirations bien agréables dans une histoire très noire. Je n’aurais qu’une petite restriction concernant titre et couverture, je ne comprends ni le choix de l’un, par rapport à l’histoire, ni celui, esthétique, de l’autre. Ceci ne me découragera pas de lire le troisième volume !
On retrouve avec plaisir le duo d'enqueteurs assad et Carl, toujours aussi raleur mais attachant.
Ils enquêtent ici sur des meurtres et agressions survenus il y a des années commis par des jeunes de bonne famille aujourd'hui bien installes dans la haute société des affaires, de la finance et de la banque.
Le suspense n'est pas très présent puisque le lecteur connaît les auteurs de ces crimes. Cependant l'histoire est prenante. Violence et perversion sont au rendez vous. Et le personnage de Kimmie, jeune femme aujourd'hui sdf, pourtant auteure d'actes atroces m'a particulierement plu.
Avec une enfance sans amour et repère elle est finalement la plus grande victime de cette histoire et offre un final émouvant.
Nous retrouvons ici le duo d'enquêteur dont nous avions fait la connaissance dans " Miséricorde " : l'inspecteur Carl Mørck et son assistant Assad. Vient se joindre à eux Rose qui apporte son humour et sa féminité : ce trio est pour moi le vrai point fort de ce polar. Pour l'intrigue j'ai été un peu moins séduite que dans le premier opus. Néanmoins ce polar est glaçant par la description de cette violence gratuite par des protagonistes riches et désœuvrés. On ne peut que s'attacher à Kimmie aussi bien bourreau que victime. Je lirai le troisième opus c'est certain.
Après un premier opus si réussi, on avait hâte de savoir si Jussi ADLER-OLSEN serait capable de transformer l'essai et de x un second livre à la hauteur du premier. Et bien la réponse est oui! oui! oui! Trois fois oui!
Cette fois il s'intéresse à la grande bourgeoisie danoise et à ses membres moins respectables qu'ils n'en ont l'air. Une bande d'adolescents privilégiés, adorateurs d'Orange mécanique, trouvent dans la violence un exutoire à leur enfance dorée mais dépourvue d'amour. Adultes, ils sont restés les mêmes. L'argent, l'influence, le pouvoir ont même décuplé leurs
instincts meurtriers et le doux vertige de l'impunité les enivrent. La seule faille vient de Kimmie, la fille de la bande. Elle les a quittés, les a fuis mais elle est une menace de chaque instant. Elle sait, elle peut parler, elle peut se venger.
JUSSI-ADLER a particulièrement soigné la psychologie de ses personnages torturés et effrayants. Mais il n'en oublie pas pour autant son tandem d'enquêteurs et nous régalent de leurs dialogues et de leur complicité. S'y ajoute une nouvelle recrue tout aussi atypique, une secrétaire dont aucun service ne souhaite s'embarrasser et qui donne du fil à retordre à l'irascible Mørck.
Même si l'on connait les coupables dès le début, l'enquête tient en haleine jusqu'à l'épilogue où l'on craint pour la vie de l'opiniâtre tandem. S'il fallait trouver un défaut à cette seconde aventure du département V, cela viendrait plutôt des questions qui n'ont toujours pas de réponses. On sait par exemple que Mørck soupçonne son assistant de mentir à propos de ses origines syriennes mais le sujet n'est plus abordé. On soupçonne aussi que l'affaire qui a coûté la vie à un de ses coéquipié et paralysé l'autre pourrait être une embuscade plutôt qu'un malencontreux hasard et qu'un des policiers serait impliqué mais il faudra encore être patient pour en savoir plus. Peut-être dans Délivrance, le troisième tome dans lequel je vais me plonger de ce pas. Affaire à suivre....
Cette deuxième enquête est très intéressante, et il n'y a pas besoin de connaître la première.
Le seul truc qui me chiffonne avec ce livre, c'est tous ces noms Danois. Ca ne m'aide pas à m'y retrouver, je perds du temps et ça m'énerve.
J'attendais avec beaucoup de gourmandise la suite de "Miséricorde" qui m'avait tenue en haleine, à tel point que je n'avais pu lâcher ce polar que la dernière page tournée. Je suis un tout petit peu déçue car le mécanisme du suspense est un peu moins efficace dans cet opus mais je dois reconnaître que je me suis tout de même laissée piéger par le personnage de Mörck, caustique et tenace, et par cette histoire assez glauque et violente, d'un gang de jeunes fans d'"Orange Mécanique" qui tabassent et tuent, par pur plaisir. C'est assez glaçant mais assez réaliste, hélas. Le nouveau personnage, Rose, est amusant et vient ajouter au duo improbable d'enquêteurs une touche féminine et drôle. Même si le suspense est moindre, il faut bien admettre que Jussi Adler-Olsen sait faire son boulot. Vite, la suite !
Lorsque ce deuxième volume des enquêtes du département V est sorti, je me suis jetée dessus à la bibliothèque.
Donc, nous retrouvons nos deux héros quelques mois après les évènements qui ont eu lieu dans le premier opus.
Le Département V est toujours au sous sol du commissariat et Assad tente toujours d’apporter un peu de lumière dans ce blockhaus qu’est leur bureau.
En revenant de congés, Carl trouve sur son bureau un dossier pour le moins surprenant. Il s’agit de deux homicides très violents dont « l’auteur » s’est livré à la police neuf ans après les faits.
Il n’en faut pas plus pour émousser la curiosité de Carl, Assad quant à lui est toujours partant.
Leur enquête est bientôt freinée par divers biais ce qui a le don d’agacer Carl, son travail n’est-il pas de rouvrir de vieux dossiers alors pourquoi ne pourrait-il pas conduire cette enquête ???
Je m’attendais à un rythme trépidant, comme dans Miséricorde, mais je dois dire que sur ce point je suis un petit peu déçue. Il faut attendre d’avoir passé la moitié du livre pour que l’histoire se décante un peu.
Alors, ce manque d’action peut probablement s’expliquer par le fait qu’une vengeance se prépare depuis plusieurs années et que le lecteur a besoin de bien comprendre le comment du pourquoi de ladite vengeance.
Ok pourquoi pas. Cependant je n’ai pu m’empêcher de penser pendant ma lecture que Carl et Assad s’enlisaient un peu dans la compote.
Le final rattrape un peu cette « mou du genou attitude » car Assad et Carl paient encore une fois de leur personne. Une mention spéciale pour le personnage de Kimmie, qui dans sa psychose, est malgré tout touchante.
Mais, j’aurais bien aimé continuer à en savoir plus sur le côté privé des personnages.
L’auteur laisse présager un autre tome et j’espère qu’on en saura plus sur les évènements qui ont précédé ceux de Miséricorde et dont l’auteur laisse supposer qu’il va s’y pencher prochainement.
Donc affaire à suivre….
Efficace
J'ai à nouveau beaucoup aimé cette aventure, seul Dossier 64 m'a déçue d'ailleurs dans cette série et je crois que j'ai une préférence pour l'audio même si j'avais une petite appréhension car le lecteur que j'aimais beaucoup n'est plus le même. Finalement, je l'ai apprécié lui aussi. Mon bémol concernera la fin, comme souvent d'ailleurs. J'aime davantage l'ambiance de ce roman ainsi que le trio d'investigateurs, Rose ayant fait son apparition que l'intrigue. Je serai de nouveau prête à lire ou écouter le cinquième tome mais si je peux me permettre, ce serait bien qu'Audiolib rattrape un peu son retard sur la version papier.