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« L'homme souffre des tremblements de terre, desépidémies, des horreurs de la maladie, de tous les tourments de l'âme mais, de tout temps, la tragédie la plus douloureuse pour lui aété, est et sera la tragédie de l'alcôve. » Eugène Irténieff pouvait espérer une carrière brillante. Il avait tout pour cela : propriétaire terrien, homme sérieux, il gère son domaine avec efficacité et rigueur. Son épouse, la douce et fragile Lise, romantique et amoureuse, l'idéalise, et il fait de son mieux pour être à la hauteur.
Mais le diable s'immisce dans ce joli tableau, sous les traits de la belle Stepanida, une paysanne aux yeux de braise, à la peau laiteuse et au corps vigoureux, qui met tous les sens d'Eugène en émoi. Comment résister aux tentations de la chair ? Voilà un portrait diabolique de la sensualité que Tolstoï nous propose ici.