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De la guerre d'Algérie à la guerre des boutons.
Théo n'a pas choisi de venir en France. C'est à cause de la guerre d'Algérie qu'il devient fils de rapatriés. Il découvre la France des années 60 avec étonnement, amusement et... inquiétude.
Albert Labbouz nous livre un récit empreint d'humanité qui remonte le fil des souvenirs. Un jeu de miroir et de mémoire. Il nous décrit avec délicatesse une vie plurielle quand la Banlieue Nord n'était plus tout à fait la campagne, et pas encore le 9.3.
et quand le grand chaos de l'Histoire aiguisait les blessures.
Ces « Jardins à l'Algérienne » sont les jardins d'une enfance déracinée, d'une recherche d'identité, d'une mémoire exhumée... La musique des mots rompt la solitude du départ et le deuil qu'il impose aux vivants.