C’est l’histoire de deux êtres : Ellen, américaine, atteinte d’un cancer dont les jours sont comptés et Martin Aitken, irlandais, flic en déperdition qui se noie dans l’alcool. Ces deux êtres avaient une chance infinitésimale de se rencontrer et pourtant la rencontre a eu lieu d’une manière peu conventionnelle : elle est allongée sans connaissance dans une rue de Dublin, il est sur les lieux pour « régler cette affaire». C’est la période de Noël.
Tous les deux, blessés et éprouvés par la vie, ressentent une quiétude d’être ensemble, même si des remous l’agitent
de temps à autre. Elle veut aller à Inishowen. Il veut aller à Inishowen. Chacun avec ses raisons. Chacun avec son histoire. Ils partent ensemble et traversent alors l’Irlande dans la voiture de Martin jusqu’à ce lieu paisible de beauté où peut-être les réponses aux questions se dévoileront.
De pages en pages, Joseph O’Connor noue et dénoue les intrigues (dans la définition « Combinaison de circonstances et d'incidents, enchaînement d'événements qui forment le nœud de l'action » CNRTL) avec humour, dérision, réalisme.
Si l’espoir est en deuil dans les premières pages (enfin un peu plus que les premières), il renait peu à peu dans des petits riens du quotidien puis explose doucement dans la vie d’Ellen et Martin.
La vie n'est pas si moche que ça
C’est l’histoire de deux êtres : Ellen, américaine, atteinte d’un cancer dont les jours sont comptés et Martin Aitken, irlandais, flic en déperdition qui se noie dans l’alcool. Ces deux êtres avaient une chance infinitésimale de se rencontrer et pourtant la rencontre a eu lieu d’une manière peu conventionnelle : elle est allongée sans connaissance dans une rue de Dublin, il est sur les lieux pour « régler cette affaire». C’est la période de Noël.
Tous les deux, blessés et éprouvés par la vie, ressentent une quiétude d’être ensemble, même si des remous l’agitent de temps à autre. Elle veut aller à Inishowen. Il veut aller à Inishowen. Chacun avec ses raisons. Chacun avec son histoire. Ils partent ensemble et traversent alors l’Irlande dans la voiture de Martin jusqu’à ce lieu paisible de beauté où peut-être les réponses aux questions se dévoileront.
De pages en pages, Joseph O’Connor noue et dénoue les intrigues (dans la définition « Combinaison de circonstances et d'incidents, enchaînement d'événements qui forment le nœud de l'action » CNRTL) avec humour, dérision, réalisme.
Si l’espoir est en deuil dans les premières pages (enfin un peu plus que les premières), il renait peu à peu dans des petits riens du quotidien puis explose doucement dans la vie d’Ellen et Martin.