Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Jaillissant, à la surprise générale, de la succession d'Ahmadou Ahidjo, le président Paul Biya a bravé un parcours de turbulences que peu d'acteurs...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Jaillissant, à la surprise générale, de la succession d'Ahmadou Ahidjo, le président Paul Biya a bravé un parcours de turbulences que peu d'acteurs politiques contemporains peuvent s'autoriser : retournement spectaculaire de la parole de son prédécesseur, deux tentatives de coup d'Etat, une crise économique féroce, la désobéissance civile, la violence de la rue, une opposition insurrectionnelle appelant à la guerre civile armée, les trahisons des fidèles, les annonces de décès, le tir groupé de la presse depuis une quinzaine d'années, les manœuvres des partisans et des adversaires qui parfois deviennent des ennemis. Depuis 1982, Paul Biya a traversé ces épreuves à la surprise générale, confondant les sceptiques et renaissant, comme l'animal de la légende, chaque jour du néant où certains l'avaient trop vite barricadé. L'essai de Michel Roger Emvana, même s'il aborde la question par des voies peu orthodoxes dans ce genre d'opération, s'appuie sur des faits biographiques, historiques et politiques que tout observateur de la scène reconnaît parce qu'il les connaît : l'enfance au village ; le parcours scolaire à Nden, Edéa, Yaoundé, Paris ; la carrière du grand commis de l'Etat au service de l'intérêt général jusqu'à son accession au sommet de la responsabilité républicaine. Tel est le cheminement politique de Paul Biya depuis le 6 novembre 1982. (Extrait de la préface du Professeur Gervais Mendo Ze).