Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Né en plein romantisme, Ernest Hébert (1817-1908) commence sa carrière avec la percée du réalisme. Après une formation classique à l'Ecole des...
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Résumé
Né en plein romantisme, Ernest Hébert (1817-1908) commence sa carrière avec la percée du réalisme. Après une formation classique à l'Ecole des beaux-arts de Paris où il remporte le grand prix de Rome de Peinture historique, il accède à la notoriété avec "La Mal'aria" au Salon de 1850. Un bel avenir s'ouvrant devant lui, il partage son temps entre la France et l'Italie, où il a été deux fois directeur de l'Académie de France à Rome. Il devient un portraitiste recherché de la haute société parisienne du Second Empire puis de la Troisième République. Toutefois, c'est en Italie qu'il trouvera ses sujets de prédilection en peignant des scènes de la vie paysanne empreintes d'un réalisme mélancolique. Mort en 1908, à 91 ans, Hébert est une figure attachante de l'art académique. Homme cultivé et mélomane averti, il a été lié à de nombreuses personnalités, hommes de lettres, musiciens, artistes et notamment à la princesse Mathilde. Il a laissé le souvenir d'un directeur apprécié de la villa
Médicis. Sa correspondance, les objets qui l'entouraient, les nombreuses œuvres d'atelier, légués par son épouse, nous permettent de mieux comprendre aujourd'hui la vie du peintre.