Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Ce qui est fascinant dans les Particu, c'est qu'il y a un lien entre le texte et l'exposé savant. Exemple : à un moment du récit, nous avons un cadavre....
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
" Ce qui est fascinant dans les Particu, c'est qu'il y a un lien entre le texte et l'exposé savant. Exemple : à un moment du récit, nous avons un cadavre. Un cadavre normal comme on en ferait vous ou moi... Monsieur Michel nous dresse dans l'ordre d'arrivée au festin la liste des Bestioles nécrophages qui viennent tour à tour se repaître de la chair en décomposition. Faut le faire !
Autrefois les morts, pfftt !!! Ils étaient morts, point c'est tout !... Mais là, bonté, le mort on le lâche pas comme ça, quand on le quitte on est rassuré, le travail est fini, bien fini. "
L'ancien camionneur devenu balayeur, Ignace Serber, a envoyé son troisième roman chez les éditeurs parisiens. Dans l'attente des réponses, il fait la lecture d'une des " références " littéraires de l'année : Les particules élémentaires de Michel Houellebecq.
Inspiré du succès des Particules (qu'il a bien du mal à comprendre), Ignace s'essaie à ce nouveau genre littérèèère et dénonce au passage la suffisance de certains éditeurs, journalistes...
Curieuse alliance que celle du balai et du mouton, personnages principaux. Cependant, le résultat est réussi : désopilant, truculent avec, en plus, sous le couvert du rire quelques vérités bien senties.
Sous le pseudonyme d'Ignace Serber, Bernard Chatelet signe un pamphlet de grande envergure où l'on rit largement.
Alors Bernard, cet Ignace est-ce ;
- un masque accusateur pour jouer le Zola ?
- un masque de justicier pour jouer le Zorro ?
Non, un simple masque de clown pour jouer le Zozo avec des mois zozés...