Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce livre visite l'imaginaire majorquin avec ses jeunes poètes tous nés après 1960, à l'exception de Jaume Mesquida. Ils prononcent les mots de l'attachement...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Ce livre visite l'imaginaire majorquin avec ses jeunes poètes tous nés après 1960, à l'exception de Jaume Mesquida. Ils prononcent les mots de l'attachement qu'ils portent à leur île et nous rentrons alors dans ses entrailles les plus profondes, loin de la perception ou de la vision qu'en ont les touristes. L'île est d'une richesse immense : la mer, la montagne, le soleil, la mémoire éclairent ses habitants. Mais, en même temps, tant de beauté paralyse et fait ressentir aux hommes la déréliction de la vie. Les poèmes, loin de n'être que des bonheurs d'expression, plongent souvent au creux de l'angoisse, comme si la beauté de l'île faisait écho à la solitude de l'homme. C'est de ce mouvement même entre la terre magnifique et les complexités du coeur qu'ils surgissent. Les poètes majorquins s'expriment dans leur langue, le catalan ; ils sont traduits ici en français et en castillan de façon à les faire partager à deux régions voisines. Nous n'en présentons que quelques-uns, bien d'autres pourraient figurer tant l'île est riche d'un peuple qui sait ressentir.