Résilience et philosophie. Du courage en éducation

Par : Emmanuèle Auriac-Slusarczyk, Johanna Henrion-Latché
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  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.415 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-343-13690-5
  • EAN9782343136905
  • Date de parution01/01/2018
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'ouvrage n'aborde pas la philosophie en tant que discipline. L'essai instruit en quoi résilience et philosophie, rapprochées, peuvent revitaliser l'école. En appui sur des cas concrets, les auteures combattent certaines idées reçues, celles en vogue notamment, qui prétendent que la philosophie ferait le bonheur ou que les familles seraient responsables de maux indépassables. Ancré dans la double réalité de la société et de l'école, le propos redonne leur légitime liberté aux enseignants.
Traquant ce qui paraît relever de raisonnements courts, les auteures interrogent les liens entre intelligence, laïcité, culture, réflexivité, liberté, autorité, raison, destin, action, vérité. Est défendue l'idée que philosopher permet de cheminer, de rééquilibrer l'espace psychique de chacun, de se construire collectivement et humainement par delà l'empreinte familiale. Il s'agit de renouer avec l'intelligence, de douter, car tout élève, en cela irremplaçable, fera la société de demain.
L'essai pose qu'il revient à l'école laïque de projeter et de développer cette capabilité collective. L'école doit résilier avec des discours la dévalorisant, redevenir émancipatrice, fixer son intervention à échelle d'homme, parce que connaissance et intelligence ne sont pas superposables, mais doivent demeurer complémentaires.
L'ouvrage n'aborde pas la philosophie en tant que discipline. L'essai instruit en quoi résilience et philosophie, rapprochées, peuvent revitaliser l'école. En appui sur des cas concrets, les auteures combattent certaines idées reçues, celles en vogue notamment, qui prétendent que la philosophie ferait le bonheur ou que les familles seraient responsables de maux indépassables. Ancré dans la double réalité de la société et de l'école, le propos redonne leur légitime liberté aux enseignants.
Traquant ce qui paraît relever de raisonnements courts, les auteures interrogent les liens entre intelligence, laïcité, culture, réflexivité, liberté, autorité, raison, destin, action, vérité. Est défendue l'idée que philosopher permet de cheminer, de rééquilibrer l'espace psychique de chacun, de se construire collectivement et humainement par delà l'empreinte familiale. Il s'agit de renouer avec l'intelligence, de douter, car tout élève, en cela irremplaçable, fera la société de demain.
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