Le commencement à venir
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- Nombre de pages222
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
- ISBN979-10-370-1964-6
- EAN9791037019646
- Date de parution30/06/2022
- CollectionLe Bel Aujourd'hui
- ÉditeurHermann
Résumé
Le commencement a déjà eu lieu, et pourtant il est encore à venir, signe que le commencement véritable, de qui dépend ensuite le cours entier de notre existence, et son sens, a été manqué. Ce que nous appelons sens tient dans cette direction qui tourne, ou retourne, l'existence vers ce commencement à venir, pour aller de l'impoétique vers le poétique, de la souffrance vers la joie, ou de la mort future vers la vie sans cesse recommencée.
A la littérature de décrire alors le pluriel des possibles que nous pouvons éprouver, à la philosophie de montrer leur dissymétrie ou la promesse de leur dissymétrie, et à la théologie de justifier cette promesse et dire au nom de qui nous allons vers notre naissance. La philosophie qui est à faire, c'est celle de Lazare.
A la littérature de décrire alors le pluriel des possibles que nous pouvons éprouver, à la philosophie de montrer leur dissymétrie ou la promesse de leur dissymétrie, et à la théologie de justifier cette promesse et dire au nom de qui nous allons vers notre naissance. La philosophie qui est à faire, c'est celle de Lazare.
Le commencement a déjà eu lieu, et pourtant il est encore à venir, signe que le commencement véritable, de qui dépend ensuite le cours entier de notre existence, et son sens, a été manqué. Ce que nous appelons sens tient dans cette direction qui tourne, ou retourne, l'existence vers ce commencement à venir, pour aller de l'impoétique vers le poétique, de la souffrance vers la joie, ou de la mort future vers la vie sans cesse recommencée.
A la littérature de décrire alors le pluriel des possibles que nous pouvons éprouver, à la philosophie de montrer leur dissymétrie ou la promesse de leur dissymétrie, et à la théologie de justifier cette promesse et dire au nom de qui nous allons vers notre naissance. La philosophie qui est à faire, c'est celle de Lazare.
A la littérature de décrire alors le pluriel des possibles que nous pouvons éprouver, à la philosophie de montrer leur dissymétrie ou la promesse de leur dissymétrie, et à la théologie de justifier cette promesse et dire au nom de qui nous allons vers notre naissance. La philosophie qui est à faire, c'est celle de Lazare.