L'ENTREE EN PHILOSOPHIE.. Les premiers mots
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- Nombre de pages284
- FormatPDF
- ISBN2-296-39649-6
- EAN9782296396494
- Date de parution01/10/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'homme est un être de parole autant que de chair et de sang, et de celui qui existe entre naissance et mort nous pouvons dire tout aussi bien qu'il pense entre les premiers et les derniers mots. Mais celui qui commence à parler ne dispose pas de l'événement qui l'introduit dans la pensée, pas plus qu'il n'est maître de ses derniers mots, eux encore à venir. Aussi nos premiers mots sont-ils toujours en retard sur l'origine, tenus de répondre plutôt que d'inaugurer.
Sans doute est-ce de bien des manières que nous pouvons les décliner, dans le désarroi comme dans l'éblouissement : l'existence blessée ou comblée appelle le verbe. Ce qui la blesse force à penser, et ouvre bien des dimensions (ontologie, politique ou théologie). Ce qui la comble donne à penser - l'œuvre d'art, sous ses multiples formes (sculpture, peinture ou musique) en est l'exemple. Ce qui nous affecte : tel est donc bien l'affaire de cette philosophie qu'on peut nommer première.
Sans doute est-ce de bien des manières que nous pouvons les décliner, dans le désarroi comme dans l'éblouissement : l'existence blessée ou comblée appelle le verbe. Ce qui la blesse force à penser, et ouvre bien des dimensions (ontologie, politique ou théologie). Ce qui la comble donne à penser - l'œuvre d'art, sous ses multiples formes (sculpture, peinture ou musique) en est l'exemple. Ce qui nous affecte : tel est donc bien l'affaire de cette philosophie qu'on peut nommer première.
L'homme est un être de parole autant que de chair et de sang, et de celui qui existe entre naissance et mort nous pouvons dire tout aussi bien qu'il pense entre les premiers et les derniers mots. Mais celui qui commence à parler ne dispose pas de l'événement qui l'introduit dans la pensée, pas plus qu'il n'est maître de ses derniers mots, eux encore à venir. Aussi nos premiers mots sont-ils toujours en retard sur l'origine, tenus de répondre plutôt que d'inaugurer.
Sans doute est-ce de bien des manières que nous pouvons les décliner, dans le désarroi comme dans l'éblouissement : l'existence blessée ou comblée appelle le verbe. Ce qui la blesse force à penser, et ouvre bien des dimensions (ontologie, politique ou théologie). Ce qui la comble donne à penser - l'œuvre d'art, sous ses multiples formes (sculpture, peinture ou musique) en est l'exemple. Ce qui nous affecte : tel est donc bien l'affaire de cette philosophie qu'on peut nommer première.
Sans doute est-ce de bien des manières que nous pouvons les décliner, dans le désarroi comme dans l'éblouissement : l'existence blessée ou comblée appelle le verbe. Ce qui la blesse force à penser, et ouvre bien des dimensions (ontologie, politique ou théologie). Ce qui la comble donne à penser - l'œuvre d'art, sous ses multiples formes (sculpture, peinture ou musique) en est l'exemple. Ce qui nous affecte : tel est donc bien l'affaire de cette philosophie qu'on peut nommer première.