Le discours de la vie.. Trois essais sur Platon, Kierkegaard et Nietzsche
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- Nombre de pages366
- FormatPDF
- ISBN2-296-24732-6
- EAN9782296247321
- Date de parution01/01/2001
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
A cette tâche : narrer la vie, ou le pathos, le penseur n'est pas moins voué que le poète - tenu d'inventer un discours de la vie qui soit fidèle à sa perpétuelle invention, tenu de déplacer les frontières du possible et de l'impossible pour qu'un logos puisse désormais décrire cette expérience première, celle du monde de la vie. La phénoménologie peut bien sembler affaire " presque impossible " lorsqu'elle s'affronte à cet absolument premier, et qu'elle doit dire à force de mots ce qui par définition devance tous les mots : l'expérience première de la vie, le pathos avant le logos - la vocation du penseur n'en est pas moins de parler, ou d'écrire, au moment même où les ressources du langage lui font apparemment défaut.
Qu'une phénoménologie de la vie puisse se constituer effectivement en récit, nous en donnons ici quelques exemples - trois exactement : le mythe (Platon), le discours édifiant (Kierkegaard) et la pensée poétique du Zarathoustra (Nietzsche).
La pensée chaque fois y invente un discours qui déplace les possibilités et impossibilités du dire pour accéder à la vie.
La pensée chaque fois y invente un discours qui déplace les possibilités et impossibilités du dire pour accéder à la vie.
A cette tâche : narrer la vie, ou le pathos, le penseur n'est pas moins voué que le poète - tenu d'inventer un discours de la vie qui soit fidèle à sa perpétuelle invention, tenu de déplacer les frontières du possible et de l'impossible pour qu'un logos puisse désormais décrire cette expérience première, celle du monde de la vie. La phénoménologie peut bien sembler affaire " presque impossible " lorsqu'elle s'affronte à cet absolument premier, et qu'elle doit dire à force de mots ce qui par définition devance tous les mots : l'expérience première de la vie, le pathos avant le logos - la vocation du penseur n'en est pas moins de parler, ou d'écrire, au moment même où les ressources du langage lui font apparemment défaut.
Qu'une phénoménologie de la vie puisse se constituer effectivement en récit, nous en donnons ici quelques exemples - trois exactement : le mythe (Platon), le discours édifiant (Kierkegaard) et la pensée poétique du Zarathoustra (Nietzsche).
La pensée chaque fois y invente un discours qui déplace les possibilités et impossibilités du dire pour accéder à la vie.
La pensée chaque fois y invente un discours qui déplace les possibilités et impossibilités du dire pour accéder à la vie.