Symptômes du jeune cinéma français
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- Nombre de pages289
- PrésentationBroché
- Poids0.505 kg
- Dimensions16,0 cm × 22,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-204-08645-5
- EAN9782204086455
- Date de parution19/06/2008
- Collection7e Art
- ÉditeurLe Cerf/Corlet
Résumé
A travers une quarantaine de films choisis pour leur notoriété ou leur valeur symbolique, cet ouvrage interroge trois des paradigmes perdus de la culture cinématographique : le film comme symptôme de société, l'œuvre comme connaissance de soi et de l'autre, le cinéma comme leçon de vie. Le concept clé est celui de représentation : la représentation comme spectacle ; la représentation comme proposition analytique ; la représentation comme structuration de l'esprit.
Au terme de cette première étude, le livre se tourne vers le jeune cinéma français. De quels modes de penser, de quelles contradictions, porte-t-il témoignage ? Tout film d'importance, consciemment ou non, révèle les non-dits d'une époque, parfois de ses impasses. Sanction de l'histoire, le cinéma français semble profondément marqué par un principe de culpabilité qui, à terme, l'inhibe dans ses possibilités d'expression.
En un mot, selon la belle formule de Bruno Bettelheim, il s'agit , pour le spectateur, d'avoir le " cœur conscient ".
Au terme de cette première étude, le livre se tourne vers le jeune cinéma français. De quels modes de penser, de quelles contradictions, porte-t-il témoignage ? Tout film d'importance, consciemment ou non, révèle les non-dits d'une époque, parfois de ses impasses. Sanction de l'histoire, le cinéma français semble profondément marqué par un principe de culpabilité qui, à terme, l'inhibe dans ses possibilités d'expression.
En un mot, selon la belle formule de Bruno Bettelheim, il s'agit , pour le spectateur, d'avoir le " cœur conscient ".
A travers une quarantaine de films choisis pour leur notoriété ou leur valeur symbolique, cet ouvrage interroge trois des paradigmes perdus de la culture cinématographique : le film comme symptôme de société, l'œuvre comme connaissance de soi et de l'autre, le cinéma comme leçon de vie. Le concept clé est celui de représentation : la représentation comme spectacle ; la représentation comme proposition analytique ; la représentation comme structuration de l'esprit.
Au terme de cette première étude, le livre se tourne vers le jeune cinéma français. De quels modes de penser, de quelles contradictions, porte-t-il témoignage ? Tout film d'importance, consciemment ou non, révèle les non-dits d'une époque, parfois de ses impasses. Sanction de l'histoire, le cinéma français semble profondément marqué par un principe de culpabilité qui, à terme, l'inhibe dans ses possibilités d'expression.
En un mot, selon la belle formule de Bruno Bettelheim, il s'agit , pour le spectateur, d'avoir le " cœur conscient ".
Au terme de cette première étude, le livre se tourne vers le jeune cinéma français. De quels modes de penser, de quelles contradictions, porte-t-il témoignage ? Tout film d'importance, consciemment ou non, révèle les non-dits d'une époque, parfois de ses impasses. Sanction de l'histoire, le cinéma français semble profondément marqué par un principe de culpabilité qui, à terme, l'inhibe dans ses possibilités d'expression.
En un mot, selon la belle formule de Bruno Bettelheim, il s'agit , pour le spectateur, d'avoir le " cœur conscient ".