Tu seras une femme, mon fils

Par : Daniel Serceau
    • Nombre de pages224
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.275 kg
    • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
    • ISBN978-2-38651-196-7
    • EAN9782386511967
    • Date de parution30/05/2025
    • ÉditeurSpinelle Editions

    Résumé

    Se sachant condamné par une maladie dégénérative qui le privera bientôt de ses facultés mentales, un homme achète un aller simple pour la Suisse. Ainsi qu'il l'explique, il n'a pas peur de mourir, mais de perdre les plaisirs de la vie. Il refuse d'imposer son corps aux autres. La veille de son départ, il expédie une lettre à son plus vieil ami. Une lettre, pas un message internet. Il ne veut pas que cet ami, Pierre, interfère sur sa décision.
    Il souhaite qu'il en prenne connaissance en prenant son temps. Sans drame. En la lisant sur des feuilles de papier qui ne disparaîtront pas avec la lumière d'un écran. Ce sera son cimetière et sa tombe. La trace matérielle de ce que fut son existence. Le dernier plaisir qu'il se sera donné. Plaisir de l'amitié. Plaisir de partager. La lettre contient un secret qu'il a toujours gardé pour lui. Un secret de famille, secret intime.
    Ce qu'il a découvert, tardivement. Qui explique une partie de sa personnalité que nul n'a vraiment soupçonnée. La missive se découpe en deux parties qu'il appelle " mouvements ". Le premier consacré au prénom que lui donna sa mère, à la fois signe et moteur de tant de choses. Elle voulait une fille. Elle se l'est donnée à travers lui. Dans le second mouvement, il revient sur sa vie d'adulte. Le prénom s'estompe.
    Ne s'efface pas une autre parole. L'homme, enfant de mots qu'il ne maîtrise pas. Une condition " humainement personnelle ".
    Se sachant condamné par une maladie dégénérative qui le privera bientôt de ses facultés mentales, un homme achète un aller simple pour la Suisse. Ainsi qu'il l'explique, il n'a pas peur de mourir, mais de perdre les plaisirs de la vie. Il refuse d'imposer son corps aux autres. La veille de son départ, il expédie une lettre à son plus vieil ami. Une lettre, pas un message internet. Il ne veut pas que cet ami, Pierre, interfère sur sa décision.
    Il souhaite qu'il en prenne connaissance en prenant son temps. Sans drame. En la lisant sur des feuilles de papier qui ne disparaîtront pas avec la lumière d'un écran. Ce sera son cimetière et sa tombe. La trace matérielle de ce que fut son existence. Le dernier plaisir qu'il se sera donné. Plaisir de l'amitié. Plaisir de partager. La lettre contient un secret qu'il a toujours gardé pour lui. Un secret de famille, secret intime.
    Ce qu'il a découvert, tardivement. Qui explique une partie de sa personnalité que nul n'a vraiment soupçonnée. La missive se découpe en deux parties qu'il appelle " mouvements ". Le premier consacré au prénom que lui donna sa mère, à la fois signe et moteur de tant de choses. Elle voulait une fille. Elle se l'est donnée à travers lui. Dans le second mouvement, il revient sur sa vie d'adulte. Le prénom s'estompe.
    Ne s'efface pas une autre parole. L'homme, enfant de mots qu'il ne maîtrise pas. Une condition " humainement personnelle ".
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    Daniel Serceau
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