Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Arrière la Muse académique ! Je n'ai que faire de cette vieille bégueule. J'invoque la Muse familière, la citadine, la vivante, pour qu'elle m'aide...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Arrière la Muse académique ! Je n'ai que faire de cette vieille bégueule. J'invoque la Muse familière, la citadine, la vivante, pour qu'elle m'aide à chanter les bons chiens ! les pauvres chiens, les chiens crottés
"Autant que le permettent les lois de la création littéraire, les Petits Poèmes en prose marquent un commencement absolu. Ils soutiennent tout un système généalogique dont on dessine les branches maîtresses quand on cite le premier livre des Divagations, les Illuminations et les Moralités légendaires : le foisonnement ultérieur est infini. Il semble que Baudelaire ait eu lui-même conscience d'avoir ouvert par cette extrême expérience une route que l'on dût, après lui, nécessairement emprunter. Du moins, entendait-il qu'on lui rapportât le mérite de l'avoir frayée. Il mandait à Arsène Houssaye, dans un billet de 1861 : "Je me pique qu'il y a là quelque chose de nouveau, comme sensation ou comme expression" - et dans sa dédicace au même, il se défendait, tout en jouant le dépit, d'avoir simplement imité la technique d'Aloysius Bertrand. Enfin, dans sa Correspondance, il mettait l'accent sur le caractère de "singularité" radicale, pour ne pas dire : "répulsive", des "bagatelles laborieuses", dont il sentait qu'en matière de poésie elles constitueraient son dernier mot". Georges Blin. Nouvelle édition.