Le bûcher des vanités

Par : Tom Wolfe

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  • Nombre de pages702
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.88 kg
  • Dimensions15,4 cm × 24,0 cm × 3,6 cm
  • ISBN2-221-09063-2
  • EAN9782221090633
  • Date de parution12/05/1999
  • CollectionBest-sellers
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la sortie de l'autoroute, et se perd dans le Bronx. Au moment où il croit enfin échapper à ce quartier de tous les dangers, deux jeunes noirs s'avancent, menaçants, vers sa Mercedes... Le couple parvient à s'enfuir, mais écrase l'un des deux hommes. Pour Sherman McCoy, c'est le début de la chute. Sa vie affective et professionnelle est pulvérisée, et l'univers dont il se croyait le maître flambe sur le bûcher de toutes les vanités. Graduellement, inexorablement, l'étau se resserre, sans que l'on sache, jusqu'aux toutes dernières pages, comment le cauchemar se terminera. La plus sinistre, la plus drôle, la plus juste des présentations de la vie new-yorkaise... Le Monde. Cauchemardesque, fascinant, drôle et passionnant, le livre qu'il faut avoir lu sur ce qui est aujourd'hui la " ville moderne " par excellence. Les Echos. " The " roman encore jamais écrit sur New York et ses épicentres mondialement nerveux : la Bourse et les conflits raciaux... L'argent, la politique, la presse, la justice, le courage et la lâcheté, du grand spectacle en cinémascope. Marie-Claire. Le Bûcher des vanités... cet incendie de mots éclairant la nuit contemporaine. VSD.
Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la sortie de l'autoroute, et se perd dans le Bronx. Au moment où il croit enfin échapper à ce quartier de tous les dangers, deux jeunes noirs s'avancent, menaçants, vers sa Mercedes... Le couple parvient à s'enfuir, mais écrase l'un des deux hommes. Pour Sherman McCoy, c'est le début de la chute. Sa vie affective et professionnelle est pulvérisée, et l'univers dont il se croyait le maître flambe sur le bûcher de toutes les vanités. Graduellement, inexorablement, l'étau se resserre, sans que l'on sache, jusqu'aux toutes dernières pages, comment le cauchemar se terminera. La plus sinistre, la plus drôle, la plus juste des présentations de la vie new-yorkaise... Le Monde. Cauchemardesque, fascinant, drôle et passionnant, le livre qu'il faut avoir lu sur ce qui est aujourd'hui la " ville moderne " par excellence. Les Echos. " The " roman encore jamais écrit sur New York et ses épicentres mondialement nerveux : la Bourse et les conflits raciaux... L'argent, la politique, la presse, la justice, le courage et la lâcheté, du grand spectacle en cinémascope. Marie-Claire. Le Bûcher des vanités... cet incendie de mots éclairant la nuit contemporaine. VSD.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.1/5
sur 13 notes dont 5 avis lecteurs
Une belle claque
Trop petite pour lire le livre à sa sortie en 1987, trop jeune encore pour voir le film sorti en 1991, finalement c’est quelques décennies plus tard que je me prends en pleine figure ce monstre de la littérature américaine. Car si les films peuvent mal vieillir, les livres en revanche traversent les âges. Encore un avantage pour mon ami le livre, eh eh ! J’aurais juste loupé Bruce Willis avec des cheveux… Fidèle à mes valeurs, vous n’aurez rien ici du contenu, de la substantifique moelle de l’intrigue mais, je l’espère, une mise en bouche qui éveillera votre appétit. Car il en faut un peu pour dévorer ces 915 pages. Alors voilà : l’auteur nous emmène dans le New-York des années 80. Et les années 80 à New-York, c’est chouette. Le NYC des années 80, c’est Manhattan avec ses tours gigantesques et des cabines téléphoniques partout, des brushings de la planète choucroute, des robes improbables aux épaulettes surdimensionnées, des appartements dont on ne compte même plus les mètres carrés décorés par les dames qui portent les robes et les brushings cités ci-dessus, des sacs de dollars jetés sur les trottoirs, des limousines de 25 mètres de long pour parcourir 3 pâtés de maisons, des soirées avec plein de gens connus qui écrivent des livres sur l’existentialisme et peignent des croûtes dont on se demande dans quel sens il faut les accrocher, des enfants qui vont dans écoles privées avec un bel uniforme écussoné, des traders qui donnent le La du marché financier mondial nuit et jour. Et le New-York des années 80, c’est surtout Sherman McCoy. Parce qu’il possède tout cela, Super Sherman. Et Super Sherman, il a bien sûr plus d’un tour dans son sac pour passer du bon temps avec sa Magic Maîtresse. Sauf que quand il se trompe de route, tout dérape et il se mange le bitume à pleines dents. On passe alors de l’autre côté du miroir avec le NYC des années 80 moins reluisant et beaucoup moins glamour : les quartiers mal famés, gangrenés par la pauvreté, l’injustice et la drogue, les politiciens affamés de pouvoir, les journalistes toujours à l’affût du « coup » qui propulsera leur carrière. Prenez tous ces ingrédients, mettez-les dans un sac, secouez bien, ajoutez un talent monstre pour dépeindre ce décor unique teinté de réalisme et de cynisme et vous obtenez un chef d’oeuvre qui traite à merveille de deux mondes radicalement opposés, qui s’entrechoquent et dont personne ne ressortira indemne.
Trop petite pour lire le livre à sa sortie en 1987, trop jeune encore pour voir le film sorti en 1991, finalement c’est quelques décennies plus tard que je me prends en pleine figure ce monstre de la littérature américaine. Car si les films peuvent mal vieillir, les livres en revanche traversent les âges. Encore un avantage pour mon ami le livre, eh eh ! J’aurais juste loupé Bruce Willis avec des cheveux… Fidèle à mes valeurs, vous n’aurez rien ici du contenu, de la substantifique moelle de l’intrigue mais, je l’espère, une mise en bouche qui éveillera votre appétit. Car il en faut un peu pour dévorer ces 915 pages. Alors voilà : l’auteur nous emmène dans le New-York des années 80. Et les années 80 à New-York, c’est chouette. Le NYC des années 80, c’est Manhattan avec ses tours gigantesques et des cabines téléphoniques partout, des brushings de la planète choucroute, des robes improbables aux épaulettes surdimensionnées, des appartements dont on ne compte même plus les mètres carrés décorés par les dames qui portent les robes et les brushings cités ci-dessus, des sacs de dollars jetés sur les trottoirs, des limousines de 25 mètres de long pour parcourir 3 pâtés de maisons, des soirées avec plein de gens connus qui écrivent des livres sur l’existentialisme et peignent des croûtes dont on se demande dans quel sens il faut les accrocher, des enfants qui vont dans écoles privées avec un bel uniforme écussoné, des traders qui donnent le La du marché financier mondial nuit et jour. Et le New-York des années 80, c’est surtout Sherman McCoy. Parce qu’il possède tout cela, Super Sherman. Et Super Sherman, il a bien sûr plus d’un tour dans son sac pour passer du bon temps avec sa Magic Maîtresse. Sauf que quand il se trompe de route, tout dérape et il se mange le bitume à pleines dents. On passe alors de l’autre côté du miroir avec le NYC des années 80 moins reluisant et beaucoup moins glamour : les quartiers mal famés, gangrenés par la pauvreté, l’injustice et la drogue, les politiciens affamés de pouvoir, les journalistes toujours à l’affût du « coup » qui propulsera leur carrière. Prenez tous ces ingrédients, mettez-les dans un sac, secouez bien, ajoutez un talent monstre pour dépeindre ce décor unique teinté de réalisme et de cynisme et vous obtenez un chef d’oeuvre qui traite à merveille de deux mondes radicalement opposés, qui s’entrechoquent et dont personne ne ressortira indemne.
Chef d'oeuvre possible
Deux à trois cent pages de moins et ce serait un pur chef-d'œuvre. Evidente complaisance logorrhéique de l'auteur ce qui n'enlève rien à son talent d'écrivain.
Deux à trois cent pages de moins et ce serait un pur chef-d'œuvre. Evidente complaisance logorrhéique de l'auteur ce qui n'enlève rien à son talent d'écrivain.
Décapant
Sherman McCoy est un maître de l’univers ! Du moins, c’est comme cela qu’il aime à s’imaginer. Un travail lucratif à Wall Street, un luxueux appartement à Manhattan, une épouse décoratrice, une petite fille adorable et aussi une superbe maîtresse. Voilà un homme comblé. Pourtant, tout cela va s’arrêter brutalement le jour où ce riche New-yorkais renverse accidentellement un jeune noir dans le Bronx. A partir de cette intrigue très simple, Tom Wolfe brosse un portrait décapant de New York et de l’Amérique. Personne n’est épargné ! Du leader noir sans scrupule en passant par le procureur ambitieux et le petit dealer de crack, toutes les couches de la société sont passées au scanner et le moins que l’on puisse dire c’est que ça déménage. Je connaissais déjà le style mordant de Tom Wolfe grâce à l’excellent Bloody Miami mais Le Bûcher des vanités reste Le grand titre de cet auteur. Un portrait sans concession des États-Unis mais surtout un formidable roman que j’ai lu avec délectation.
Sherman McCoy est un maître de l’univers ! Du moins, c’est comme cela qu’il aime à s’imaginer. Un travail lucratif à Wall Street, un luxueux appartement à Manhattan, une épouse décoratrice, une petite fille adorable et aussi une superbe maîtresse. Voilà un homme comblé. Pourtant, tout cela va s’arrêter brutalement le jour où ce riche New-yorkais renverse accidentellement un jeune noir dans le Bronx. A partir de cette intrigue très simple, Tom Wolfe brosse un portrait décapant de New York et de l’Amérique. Personne n’est épargné ! Du leader noir sans scrupule en passant par le procureur ambitieux et le petit dealer de crack, toutes les couches de la société sont passées au scanner et le moins que l’on puisse dire c’est que ça déménage. Je connaissais déjà le style mordant de Tom Wolfe grâce à l’excellent Bloody Miami mais Le Bûcher des vanités reste Le grand titre de cet auteur. Un portrait sans concession des États-Unis mais surtout un formidable roman que j’ai lu avec délectation.
Tom Wolfe est un américain. Il est à la fois un romancier, un journaliste et un essayiste. Né le 2 mars 1931 à Richmond en Virginie (États-Unis), il passe ses années d’étudiant en lettres à Yale. En 1957, il commence sa carrière de journaliste au Washington Post puis au New York Herald Tribune. Ces premiers écrits « l’étoffe des héros » et « le gauchisme » lui ont permis d’être connu du grand public. Bien que journaliste, la vie de romancier de Tom Wolfe débute dans les années 1980. En effet, il publie en 1987 son premier roman intitulé « le Bucher des vanités ». Cette belle œuvre fut un succès mondial avec plus de 800 000 exemplaires vendus aux États-Unis. Après cet exploit, Tom Wolfe va continuer sur cette voie en publiant d’autres œuvres dont « Bloody Miami » et « un homme, un vrai ». Publié en 2013, « Bloody Miami » est le quatrième roman de Tom Wolfe. C’est l’histoire d’un jeune policier cubain nommé Nestor Camacho. Ce dernier a arrêté un de ses compatriotes qui cherchait refuge à Miami. Pour cela, Nestor est considéré comme un traître et devient une honte pour sa famille et son quartier. Il s’en suit un véritable clash entre cubains et les autres communautés de la ville de Miami. Est-ce que Camacho va pouvoir restaurer l’ordre et la paix entre tous ? L’ouvrage « Un homme, un vrai » est paru en 1998. Dans ce livre, Tom parle de Charlie Croker. Ce colosse entrepreneur de race blanche doit faire face à de nombreuses difficultés. Il y dépeint aussi les tensions entre les différentes races.
Le bûcher des vanités
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