Moi, Charlotte Simmons

Par : Tom Wolfe
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  • Nombre de pages1009
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 4,2 cm
  • ISBN978-2-266-15707-0
  • EAN9782266157070
  • Date de parution01/03/2007
  • CollectionPocket
  • ÉditeurPocket
  • TraducteurBernard Cohen

Résumé

Elève brillante issue d'une famille modeste aux principes rigoureux, Charlotte Simmons est la première lycéenne de son comté rural à être admise à la prestigieuse Dupont University. Depuis des décennies, cette vénérable institution, l'égale de Harvard ou de Yale, façonne l'élite de l'Amérique. Pourtant, à sa grande surprise, Charlotte va bientôt découvrir que derrière les antiques façades du campus la quête du plaisir est plus en vogue que celle du savoir, et que le prestige individuel se mesure moins au tableau d'honneur qu'au tableau de chasse. Livrée à elle-même dans ce monde clos aux règles impitoyables, la jolie et naïve Charlotte saura-t-elle résister à la tentation de devenir elle aussi une des reines de la fête ?
Elève brillante issue d'une famille modeste aux principes rigoureux, Charlotte Simmons est la première lycéenne de son comté rural à être admise à la prestigieuse Dupont University. Depuis des décennies, cette vénérable institution, l'égale de Harvard ou de Yale, façonne l'élite de l'Amérique. Pourtant, à sa grande surprise, Charlotte va bientôt découvrir que derrière les antiques façades du campus la quête du plaisir est plus en vogue que celle du savoir, et que le prestige individuel se mesure moins au tableau d'honneur qu'au tableau de chasse. Livrée à elle-même dans ce monde clos aux règles impitoyables, la jolie et naïve Charlotte saura-t-elle résister à la tentation de devenir elle aussi une des reines de la fête ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 9 notes dont 2 avis lecteurs
Navrant, irritant
Bof, bof ! L'histoire qui est présentée comme un parcours initiatique et comme une critique virulente de l'université américaine, n'est qu'un fatras de clichés, de personnages tous plus haïssables les uns que les autres. C'est long, très long, 650 pages pour raconter quoi au fond que nous ne sachions déjà. Que les élites ne sont pas des anges, que les sportifs des grandes universités sont des arrivistes abrutis… que les politiciens se font faire des gâteries dans les bois par des putes… Toute cette accumulation de clichés ne font pas une critique sociale mais plutôt l'apologie de ce que l'auteur était censé dénoncer. Je n'ai peut-être pas compris, pas saisi l'humour, toute la causticité de l'oeuvre. C'est possible. Et que dire de la navrante tentative de construire la plupart des dialogues (presque le quart du livre) en langage "fucking djeuns genre cool", dont la pauvreté n'a d'égale que la bêtise. Ce n'est pas du raciste anti-jeunes au contraire. Il n'est pas utile d'aller aux USA à DuPont pour entendre ça, il suffit d'attendre son gamin à la sortie du collège et pas seulement dans le 93. Si pour dénoncer il faut consacrer 650 pages à des inepties alors il vaudrait mieux que la littérature ne dénonce pas. La traduction française est d'une platitude inimaginable. Si on veut lire un parcours initiatique intéressant et bien traduit du japonais, il faut lire Kafka sur le Rivage de Murakami. Je n'aime pas chroniquer des livres qui m'ont déplu, c'est un exercice périlleux car d'autres les aiment et je ne prétends pas détenir le monopole du bon goût universel. Mais un coup de gueule de temps en temps ça ne fait pas de mal, surtout après avoir avalé 650 pages qui m'ont fait l'effet de hamburgers caoutchouteux, surtout que le nouveau roman de Tom Wolfe vient de paraître. Matraquage médiatique assuré, espérons qu'il sera davantage dans la veine du Bûcher des vanités que dans celle de Moi, Charlotte Simmons.
Bof, bof ! L'histoire qui est présentée comme un parcours initiatique et comme une critique virulente de l'université américaine, n'est qu'un fatras de clichés, de personnages tous plus haïssables les uns que les autres. C'est long, très long, 650 pages pour raconter quoi au fond que nous ne sachions déjà. Que les élites ne sont pas des anges, que les sportifs des grandes universités sont des arrivistes abrutis… que les politiciens se font faire des gâteries dans les bois par des putes… Toute cette accumulation de clichés ne font pas une critique sociale mais plutôt l'apologie de ce que l'auteur était censé dénoncer. Je n'ai peut-être pas compris, pas saisi l'humour, toute la causticité de l'oeuvre. C'est possible. Et que dire de la navrante tentative de construire la plupart des dialogues (presque le quart du livre) en langage "fucking djeuns genre cool", dont la pauvreté n'a d'égale que la bêtise. Ce n'est pas du raciste anti-jeunes au contraire. Il n'est pas utile d'aller aux USA à DuPont pour entendre ça, il suffit d'attendre son gamin à la sortie du collège et pas seulement dans le 93. Si pour dénoncer il faut consacrer 650 pages à des inepties alors il vaudrait mieux que la littérature ne dénonce pas. La traduction française est d'une platitude inimaginable. Si on veut lire un parcours initiatique intéressant et bien traduit du japonais, il faut lire Kafka sur le Rivage de Murakami. Je n'aime pas chroniquer des livres qui m'ont déplu, c'est un exercice périlleux car d'autres les aiment et je ne prétends pas détenir le monopole du bon goût universel. Mais un coup de gueule de temps en temps ça ne fait pas de mal, surtout après avoir avalé 650 pages qui m'ont fait l'effet de hamburgers caoutchouteux, surtout que le nouveau roman de Tom Wolfe vient de paraître. Matraquage médiatique assuré, espérons qu'il sera davantage dans la veine du Bûcher des vanités que dans celle de Moi, Charlotte Simmons.
université américaine !! bonjour l'ambiance
comment une bonne élève blanche un peu plouc, atterrit dans une université américaine ..... loin de l'ambiance studieuse qu'elle croyait retrouver . Elle se rapproche d'un noir, qui lui aussi ne se sent pas à sa place ... on est toujours bien dans un Tom Wolfe !
comment une bonne élève blanche un peu plouc, atterrit dans une université américaine ..... loin de l'ambiance studieuse qu'elle croyait retrouver . Elle se rapproche d'un noir, qui lui aussi ne se sent pas à sa place ... on est toujours bien dans un Tom Wolfe !
  • XXe siècle
  • USA
Tom Wolfe est un américain. Il est à la fois un romancier, un journaliste et un essayiste. Né le 2 mars 1931 à Richmond en Virginie (États-Unis), il passe ses années d’étudiant en lettres à Yale. En 1957, il commence sa carrière de journaliste au Washington Post puis au New York Herald Tribune. Ces premiers écrits « l’étoffe des héros » et « le gauchisme » lui ont permis d’être connu du grand public. Bien que journaliste, la vie de romancier de Tom Wolfe débute dans les années 1980. En effet, il publie en 1987 son premier roman intitulé « le Bucher des vanités ». Cette belle œuvre fut un succès mondial avec plus de 800 000 exemplaires vendus aux États-Unis. Après cet exploit, Tom Wolfe va continuer sur cette voie en publiant d’autres œuvres dont « Bloody Miami » et « un homme, un vrai ». Publié en 2013, « Bloody Miami » est le quatrième roman de Tom Wolfe. C’est l’histoire d’un jeune policier cubain nommé Nestor Camacho. Ce dernier a arrêté un de ses compatriotes qui cherchait refuge à Miami. Pour cela, Nestor est considéré comme un traître et devient une honte pour sa famille et son quartier. Il s’en suit un véritable clash entre cubains et les autres communautés de la ville de Miami. Est-ce que Camacho va pouvoir restaurer l’ordre et la paix entre tous ? L’ouvrage « Un homme, un vrai » est paru en 1998. Dans ce livre, Tom parle de Charlie Croker. Ce colosse entrepreneur de race blanche doit faire face à de nombreuses difficultés. Il y dépeint aussi les tensions entre les différentes races.
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