La naissance de l'architecture scolaire. Les écoles élémentaires parisiennes de 1870 à 1914

Par : Anne-Marie Châtelet
    • Nombre de pages448
    • PrésentationRelié
    • FormatGrand Format
    • Poids0.64 kg
    • Dimensions16,0 cm × 23,5 cm × 2,4 cm
    • ISBN2-7453-0182-9
    • EAN9782745301826
    • Date de parution01/01/1999
    • CollectionBibliothèque de l'Ecole
    • ÉditeurHonoré Champion
    • PréfacierJean-Michel Leniaud
    • PréfacierAntoine Prost

    Résumé

    L'école primaire gratuite, obligatoire et laïque, figure au premier rang des oeuvres de la IIIe République. Elle est l'aboutissement d'une évolution qui a traversé tout le XIXe siècle et provoqué un essor de l'architecture scolaire. Cet ouvrage lui est entièrement consacré. Il décrit comment les dispositions des édifices, de leur plan à leur ameublement, ont été peu à peu définies. Puis il examine de plus près le cas parisien, abordant l'intervention municipale sous l'angle de la politique foncière.
    Il s'achève par l'analyse des centaines de bâtiments construits à Paris entre 1870 et 1914. Ainsi s'explique l'air de parenté que partagent ces "écoles Jules-Ferry", leur façon d'exprimer l'idée de la République au point d'être aujourd'hui comprises comme des "édifices républicains".
    L'école primaire gratuite, obligatoire et laïque, figure au premier rang des oeuvres de la IIIe République. Elle est l'aboutissement d'une évolution qui a traversé tout le XIXe siècle et provoqué un essor de l'architecture scolaire. Cet ouvrage lui est entièrement consacré. Il décrit comment les dispositions des édifices, de leur plan à leur ameublement, ont été peu à peu définies. Puis il examine de plus près le cas parisien, abordant l'intervention municipale sous l'angle de la politique foncière.
    Il s'achève par l'analyse des centaines de bâtiments construits à Paris entre 1870 et 1914. Ainsi s'explique l'air de parenté que partagent ces "écoles Jules-Ferry", leur façon d'exprimer l'idée de la République au point d'être aujourd'hui comprises comme des "édifices républicains".